Nom : x (pas donnés, après si vous en voulez vraiment un j'l'invente et basta^^)

Prénom :Tristan

Pseudo : Le Celte ou Salamander
Âge : 25 ans

Race :
- Mutant


Groupe :
- Apprentie Confrériste



Caractère : Tristan est un borné, on dit que c'est parce qu'il est breton, et c'est sur que les bretons sont têtus! Ce sont aussi des gens fier et qui tiennent à leurs honneurs, Tristan n'en démord pas et à toujours été un homme de parole, il est aussi déterminé... à faire souffrir les autres. Son coeur est ouvert et meurtri, il ne pardonneras pas aux autres d'éprouver du bonheur alors que lui souffre jour après jour. Sa haine est dévorante, et il ne trouvera le plaisir qu'en brisant celui des autres. C'est aussi un soldat, il saura donc executer les ordres qu'on lui donne et sera sans pitié envers ses victimes.

Pouvoirs :
Manipulation/amplification de la chaleur:
niveau 1: Tristan absorbais la chaleur malgré lui, pratique si on se brule avec le fer à repasse rou avec un plat chaud, mais il n'avait jamais vraiment été soumis à chaleur plus importante. Il pouvais réutiliser cette chaleur pour créer de boule de feu suffisante pour causer des dommages moyens à ses adversaires.

Niveau 2 ¤actuel¤:
Des trous, voir même de petites "cheminées" de chair apparaissent pour aspiré l'air n'importe ou sur son corps, ces cheminées ne dépassent pas les 2cm que ce soit en diamètre ou en hauteur. Sa facilité à aspiré la moindre parcelle de chaleur s'en ressent et il n'est pas rare que quand il est énervé, l'air se raffraichit autour de lui. Sa puissance de feu s'en vois accru bien évidemment. Ses boules de feu sont proportionnels à la chaleur qu'il emmagasinent mais a part s'il subit les attaques d'un autre élémentaliste du feu, elle ne seront pas assez puissantes pour tuer à coup sur. S'il veut aspiré la chaleur de son ennemi, le processus sera long puisqu'il faut descendre jusqu'a 25°c au moins pour tuer un homme.

Niveau 3:
Les trous et les cheminées sont plus grandes et plus ouvertes, il peut donc faire baissé la température autour de lui jusqu'a 5°C et dans de bonne condition ou un bon terrain (désert, volcan, bref lieu ou la température est élevé) il pourra tuer son adversaire avec plus ou moin de facilité avec ses boules de feu. Le processus d'aspiration de la chaleur corporelle est plus rapide mais toujours pas utile dans un combat à plusieurs.

Niveau 4:
La taille des cheminées atteignent le mètre et aspirent la chaleur jusqu'en dessous du 0°C il peut absorber la chaleur d'un homme rapidement et la chaleur qu'il a emmagasiné servira à de violentes et puissantes attaques de feu.

-Vision thermique: ne change pas vraiment avec les niveaux, seul un environnement chaud peux lui permettre de sentir la chaleur dans un espace élargit.

Lien entre les pouvoirs : la chaleur

Famille & Origine(s) : Gabriel x et Sarah x sont les heureux parents de Tristan, ils étaient tous deux d'origine bretonne et on prodigué un amour sans limite à leur fils unique. Homo sapiens pour leur part ils n'ont jamais su pour les pouvoirs de Tristan.


Description physique : 1m91 et une musculature tous droit sortis de l'armée font de cet homme une armoire à glasse digne des plus grands rugbyman, il à longtemps porté ses cheveux blonds aux mèches noirs coupé au carré mais depuis son exil, il les as laissé poussé à une longueur assez importante, il n'est pas à exclure qu'il choississe une coiffure à mi-long mais changera souvent. Son regard opalescent souvent bleux, parfois vert dégage une colère sourde contre le monde entier.

Armes : Une lionne blanche *sifflote*

Autres : Content d'être de retour^^. Heu l'histoire étant exxxxxxtremement longue *11 pages openOffice et encore j'ai pas fini *sifflote*, je la met dans le post suivant et la continuerais au fur et à mesure.

Personnage :
- Inventé


Célébrité sur l'avatar : Josh Duhamel

D'autres personnages ? exBiakko et Master Mutant 2
Codes des règles : Codes Validés par Victor Creed II

Histoire :
La France est un pays ou se rencontre les héritages de maintes civilisation, on les retrouve en général dans certaine régions, mais avec le temps ces patrimoines prennent de moins en moins d’importance. Pourtant il reste une région profondément fier de ses racines et de son héritage. La Bretagne ! Sa culture celte fond de la plupart de ses habitants des gens fiers de leurs origines.

Et en cette matinée d’automne, alors que les dernières feuilles mortes tombes sur le sol parsemé de champignons, dans un hôpital, un bourgeon de vie s’ouvrait et laissait venir au monde le jeune Tristan. Son premier cri plongea ses parents dans un immense bonheur, un bonheur qui perdura des années et des années plus tard. Le petit Tristan était bercé par les légendes de sa région et sa culture. Il grandit au sein d’une famille soudée, s’inspirant des histoires qu’il entend, y trouvant des modèles de courages, d’honneur, et de fierté. On ne lui inculque pas la religion, on l’instruit, le laissant ensuite décidé par lui-même comment il souhaite voir la vie. Il aime lire les romans et ses yeux bleus aux teintes parfois vertes brillent d’une myriade d’histoire naissante dans son esprit. Des histoires de chevalerie, de capes et d’épées, d’homme se sacrifiant pour ceux qu’ils aiment. Son enfance se fait de manière normal dans une ville près des côtes. Il a toujours aimé se rendre sur les plages ou les falaises, se laissant bercer par le remous des vagues et l’iode marin lui fouettant le visage. Son rêve serait d’être un preux chevalier mais cet ordre n’existe plus, du moins il à évolué, il décide donc d’entrer dans l’armée. Il quitte le collège brevet en main pour entrer dans une école spécialisé. On lui apprend les rudiments de l’électricité, de l’informatique, de la logistique, tout en mélangeant ceci à la science des armes, du combat, et des explosifs. Il se fait des amis dans sa section, ses deux plus fidèles et lui font les 400 coups et s’entraînent ensemble. L’un s'appelle Michael, un beau brun ténébreux aux yeux noisettes irrésistible, lui et Tristan font la même taille, le même regard déterminé et les mêmes tour de biceps, rivaux dans la vie autant qu’ami, leur respect mutuel vient des défis qu’ils se lancent à tour de rôle et de leur capacités à surmonter les difficultés. La deuxième se nomme Lisa, infirmière militaire, elle les a rencontré en même temps lors d’une visite à l’hôpital après un combat d’entrainement donné avec trop d’allégresse, Tristan à une côte cassé et Michaël présente des hématomes d’une taille impressionnante, avec en leur centre de légères traces de brulure. Ces deux types de blessures sont stupéfiantes mais chacun des deux savent à quoi elles sont dues. A cette époque cela fait déjà plusieurs années que Tristan a remarqué des phénomènes étranges, il est déjà arrivé qu’en tenant dans une main une serviette de papier et que de l’autre il touche un plat supposé brulant, il ne ressente pas la morsure cinglante de la chaleur mais que la feuille de papier s’enflamme sans le moindre contact avec toutes sources de chaleur. Il en fut stupéfait la première fois, mais il ne vit aucunes traces de brulures sur ses mains. Il recommença par la suite plusieurs fois l’expérience et lorsqu’une fois il aurait souhaité que le feu dur plus longtemps pour qu’il puisse l’observer, celui-ci exauça son souhait, et alors que la matière avait déjà brulé dans son intégralité, la flamme bleu persistait, brulant au dessus du sol, il dirigea sa main, paume ouverte, vers celle-ci et la flamme parut être comme aspiré avant de rejaillir plus puissante par son autre main. Il avait la capacité d’absorber la chaleur et la réutiliser de manière plus puissante, mais il pouvait aussi manipuler toutes sources de flammes ! Les été caniculaires étaient pour lui une bénédiction mais les entrainements sous l’eau une véritable torture. Michael sait lui que sa forces hors du commun et accouplé avec une dextérité et une rapidité accrue, bien au delà de toutes capacités humaine, il s’entrainait la nuit à l’égard de tout les regards à soulever des charges bien trop importante pour un homme adulte. Tous deux avaient compris que leurs facultés venaient de leurs gênes et qu’il était important de n’en parler à personne puisqu’en cours on leur avait parlé de la possible menace mutante. C’était aussi ce point commun qui les liais sans qu’ils ne le sachent, même si aucun des deux n’était au courant pour l’autre, ils avaient l’impression de se retrouvé l’un dans l’autre.

Les pouvoirs des deux hommes augmentèrent en même temps que leur apprentissage et leur entrainement. Tristan arrivait à matérialiser de simples flammes sans aspiré la chaleur environnante, et quand il le faisait, il subissait des mutations physique, cela avait commencé par de simples trous noirs au départ, puis des petits monticules, grandissantes et devenant semblable a des cheminés. Dans l’armé, Tristan avait poursuivit ses études pour devenir capitaine, un chef d’équipe, ses camarades voyaient en lui un leader né, il avait aussi suivit une formation de pilote de l’air, chaque entraînement aérien lui donnait une dose d’adrénaline à laquelle il était devenu quasi drogué, la vitesse, la tension palpable quand vous ignorez ou se trouve votre ennemi et que vous savez qu’a n’importe quel moment vous pouvez mourir dans l’explosion de votre appareil, effectuez des manœuvres donnant l’impression d’échapper à toutes formes de force gravitationnel, on est seul, on est libre comme l’air. Et lorsqu’il redescendait sur terre, il avait encore la tête dans les nuages et seul le fait de penser à Lisa le faisait redescendre sur terre, sa douceur et sa bonne humeur en faisait un être si attachant qu’au fil du temps, les sentiments de Tristan pour elle grandissait.

Le beau Michaël aussi avait grandi, combattant hors pairs, il avait pourtant choisi la voie du commandement, préférant à la boue et à l’adrénaline la complexité des plans stratégiques qui mettait à l’épreuve sa logique et son pouvoir de déduction, imbattable aux échecs ou à tout autre jeux de stratégies, on lui proclamais déjà une grande carrière. Il était tout bonnement et tout simplement un surhomme grâce à son génome mutant qui le rendait plus fort, plus rapide, plus intelligent que n’importe quel être humain. Mais pour lui aussi tout cela ne servirait à rien si ce n’était pour impressionner une seule et unique personne. Oui depuis qu’il l’avait rencontré, Michaël était fou amoureux de la belle infirmière, mais il voulait attendre, mettre toutes les chances de son côté, ne rien laisser au hasard, pour que finalement, tous soit parfait et qu’elle lui tombe dans les bras comme toutes les autres qui lui avait déclaré son amour et qu’il avait accepté le temps d’une nuit, ou de plusieurs.

Il est temps aujourd’hui, ils ont vingt ans, ils sont prêt, leur formation est terminé et aujourd’hui est l’une des journées les plus importantes de leur vie et de celle de leurs camarades. On dénombre en moyenne trois jours exceptionnel dans la vie d’un être humain, la venue au monde, le mariage, le fait de devenir parent. Pour ces hommes d’exceptions, ces soldats, ce jour était semblable à l’adoubement des chevaliers, on allait leur remettre, leur diplôme, leur grade et les symboles s’y rattachant, ainsi que leur assignation.

C’était par une des premières journées de l’été, la cérémonie se passait sur les côtes bretonnes, à côté de la base maritime et à quelques kilomètres de la base aériennes. Le soleil était présent et intense, sans aucun nuage pour altéré sa puissance. Tristan était en habit d’apparat, il se sentait très à l’aise sous cette chaleur mais craignait le fait que ses pouvoirs puissent apparaître n’importe quand avec le stress.

Toute la cérémonie se passa dans la coure de la base, des sièges étaient disposés en rang serré pour les invités, des parents pour la plupart, et des officiels. En face de ces sièges trônait l’imposant podium ou chaque élève allaient passer par groupe de vingt et recevoir, décoration, titre, diplôme et le fameux symbole, l’épée des armées de l’école bretonne. De chaque côté de ce podium d’un vert kaki sobre, des soldats en costume devait se préparés à tirer trois salves pour chaque groupes. Il y’avais aussi un bagad de présent, un bagad est un groupe de musique bretonne composer en général de joueur de biniou, de bombardes, de grosse caisse et de caisse claire, ils jouent de la musique traditionnel et sont très réputer dans la région. Parmi les trois groupes de promus, il y’avait deux groupes de sous-officier et celui d’officier. Comme Tristan allait accéder au grades de capitaines, il devait passer dans le second groupe, ce grade lui donnait la responsabilité d’avoir sous ses ordres entre 100 et 150 soldats que ce soit dans l’armé terrestre ou aérienne, il pouvait tout autant servir dans les deux et le ferais assez souvent.

Son tour arriva, il était très anxieux, son cœur battait la chamade, pour lui c’était un jour de gloire. Le béret recouvrant ses cheveux courts et orienté sur le côté, sa chemise kaki qu’il avait mis des heures à repassé la veille pour pouvoir être prêt, il ne fallait aucun pli ! Tout devait être absolument parfait! Son pantalon serré à la ceinture, l’angoisse lui à fait serré sa ceinture à un cran de trop et il en sentait à présent les effets, tout comme ses rangers qui étaient serrés sur ses chevilles. Mais malgré tous ces désagrément, il gardait en tête qu’il devait se contrôler, le moindre écart pouvait faire apparaître ses pouvoirs, et s’il mettait le feu au publiques ? Ses parents ! Ils étaient dans l’assemblé ! Et ceux de ses amis aussi ! Mon dieu, il devait rester maître de lui-même. Il respira doucement et profondément et se rappela que la veille, pour se relaxer, c’est sur lui-même qu’il avait passez le fer brulant, absorbant sa chaleur et s’en apaisant. Il soutint le regard du général qui lui faisait face, celui-ci le félicita et le décora selon l’usage, il lui remit ensuite son diplôme et enfin la prestigieuse épée, reflets de toutes ces dures années de travail. La sienne était plus grande que ses camarades sous-gradés, mais plus petites que celle de ses supérieurs. Elle était présenté dans un écrin semblable à ceux utilisé pour les bijoux, recouvert de velour noir et à l’intérieur déposé sur de la soie blanche parsemé d’hermine noir, encore un symbole celte. Le manche de l’épée était d’un bois d’ébène profond, le pommeau avait été dessiné à l’image des pommeau antique, des formes faisant penser à des vagues partant de chaque côtés, il n’y avait pas de garde a proprement dite, juste un cercle de bronze avec un triskel en son centre il représente trois spirales qui divergent à partir d’un même point central., et la lame brillais de mille feux, de la taille de son avant bras, aussi lisse et lumineuse que l’eau calme qui s’écoule le long des rivières. Il reçut la boite la contenant avec énormément de fierté, les yeux embué de larmes, tout d’un coup il ne pensait plus à rien, son cœur ne battait plus, il ne pensait plus, le temps semblait avoir suspendu sa course folle à cet instant, et alors une seule image apparu nettement dans sa tête. Il la garda précieusement et remercia le général pour cet honneur.

Il quitta le podium sous les coups de feu des deux bataillons, puis il se positionna sur le côté, debout, attendant que ses supérieurs soit à leur tour décoré. Parmi eux se trouvais Michaël, l’élève le plus gradé de la promotion, il accédait au titre de sous-commandant, puisqu’il ne pouvait pas accéder à un poste si élevé sans expériences. Il le vis jeté un coup d’œil fier à Lisa, il eut un pincement au cœur et serra la mâchoire.




Après la cérémonie, ce fut le moment des embrassades et des félicitations, les parents serrant leur enfant dans les bras, pleurant de joie et de fierté, son père lui donnait de grandes tapes dans le dos et ils s’éloignèrent pour discuter.

La nuit était tombé, sur la base et toutes les personnes présentes durant l’après-midi se retrouvaient à présent pour un repas sous une tente dressé pour l’occasion, Tristan s’y trouvais avec ses parents et divers camarades et officiers, évoquant les souvenirs accumulé durant toutes ces années, en riant, l’émotion était palpable. Ils évoquèrent ensuite chacun leurs assignation, pour Tristan c’était l’Afrique, il aurait pour mission d’y maintenir la paix entre deux pays en dénichant dans les montagnes les troupes armées. Durant ce temps, Michaël avait demandé à Lisa de le rejoindre à l’écart, derrière un bâtiment. La jeune fille aux longs cheveux blonds ondulés mais attaché en queue de cheval s’y rendit donc un peu surprise par cette demande. Elle retrouva Michaël magnifique dans son costume de sous-commandant, il était adossé au mur blanc, les bras croisés sur son corps dans l’attente, quand il l’entendit s’approcher, il se redressa et lui fit face, le sourire aux lèvres :

-Hey Mick’, pourquoi tu voulais me voir loin de tout le monde ? Demanda-t-elle innocemment, ayant une confiance aveugle en lui comme en Tristan.

-Parce que ce que j’ai à te dire ne regarde pas les autres. Lui répondit-il doucement en se rapprochant d’elle. Il ne voulait plus attendre, était sur de lui et de ce pouvoir de séduction dont il savait user.

Lisa plissa légèrement le front et haussa un sourcil sans comprendre où il voulait en venir. N’étant pas décontenancé pour autant face à cette réaction, Michaël continua :

-Je t’aime Lisa, de tout mon cœur. Avoua t’il sur un ton bas qui se voulais séducteur, puis sur de lui il commença à rapprocher ses lèvres.




Ses lèvres ne rencontrèrent que du vide et c’est sur son front que se déposèrent les lèvres de Lisa. Il se releva et la regarda surpris.

-Je t’aime aussi Michaël, mais comme un frère, mon meilleur ami, c’est tout… Elle commença à reculer, et son regard se baissa. J’aime quelqu’un d’autre, désolé ! Puis elle tourna les talons et parti en courant, laissant le jeune homme au nom angélique sombré et profité du gout amer de la défaite et de la déception, il ne fixait plus que le sol, se demandant quelle partie de son plan n’avait pas fonctionner, tout était censé être parfait, il était le plus beau, le meilleur, le plus gradé, il avait tout réussi ! Alors pourquoi ! POURQUOI ! Il ne cessait de tourner et de retourner le problème dans tous les sens, il ne voyait pas ce qui avait bien put lui échapper. J’en aime un autre. Ces mots lui revinrent comme des coups de hache en plein cœur et il se mit à courir vers la tente, lorsqu’il y pénétra, il l’a vit… Dans SES bras !!! Tristan et elle ! Tendrement enlacé ! Les lèvres collées l’une contre l’autre !

-Traitre ! hurla-t-il ! Toute l’assemblée se retourna vers lui, son visage était d’un rouge feu presque cramoisi. Une haine profonde se lisait sur son visage, il avait la mâchoire serrée et les yeux injectés de sang il se saisit alors de l’une des épées qui étaient en présentoir sur la table et fonça dans la direction de Tristan et de Lisa sans que l’auditoire ne sache vraiment sur qui il allait déverser sa colère, le nouveau capitaine ou la jeune infirmière ? Tristan n’attendit pas de voir le doute se dissiper et alors que l’ange déchu brandissais la lame bien au dessus de sa tête, tristan retrouver son épée et s’en saisi, guider par l’instinct, l’envie de protéger celle qu’il aimait, il lui fit décrire un large arc de cercle qui sectionna d’une manière nette et précise le poignet du sous-commandant dans la stupeur la plus total, le sang se répandit sur le sol, éclaboussant quelques invité ainsi que les deux adversaire. Michaël était paralysé, fixant de ses yeux exorbités le moignon de son membre disparut, son visage exprimais toute son incompréhension face à cette situation, lui qui avait été si glorieux pendant toutes ces années tombais dans la déchéance la plus totale ! Emporté par l’adrénaline, Tristan n’en resta pas là et arma son bras droit avant de l’envoyer dans le visage de son ancien camarade, totalement sans défense, ce dernier fut envoyer à travers la salle et alors qu’il était sous le choc, les officiels et les commandants ordonnèrent qu’on se saisisse de lui et qu’on le mette aux arrêts lui et Tristan. Les deux hommes fraichement promus furent donc envoyer en prison dans l’attente de leur procès.


Il arriva quelque jour plus tard, Michaël sortait juste de l’hôpital ou on lui avait soigné sa blessure et se présenta devant la cour suprême sous l’influence des doses de morphine et la surveillance de deux gardes, ne pouvant avoir de menottes standard, ses pieds et sa main étaient enchainés, mais il avait assez de mou pour se gratter la tête alors que courir était totalement à exclure. Michaël comparaissais pour tentative de meurtre et Tristan pour atteinte à un supérieur. Après de longues heures d’audience et de comparution des différents témoins de la soirée, Tristan lui fut déchargé de toute responsabilité puisqu’il a été jugé qu’il avait agis pour se défendre. Michaël lui devait écoper d’une peine de prison et l’interdiction d’exercer dans l’armée à vie. Pour toute réactions, celui qui avait jusque la le visage baisser éclata de rire brusquement, stupéfiant toute la salle. Les médecins avaient bien dit que son état était instable suite au choc émotif et à la trop grande douleur de la perte de son membre, et il n’en fallut pas plus pour que celui qui aurait put devenir un héros sombre dans la démence !

-Attraper moi d’abord ! Lança-t-il en direction du juge avant de faire un bon prodigieux dans la salle pour finalement atterrir derrière l’homme de loi. Ce dernier eut à peine le temps de se retourner que Michaël le prit brutalement par ses cheveux blancs pour lui faire percuter son bureau en bois. Le bruit fut la preuve de la violence de l’action et d’ailleurs le juge se releva la tête en sang, tiré par Michaël qui le garda contre lui en pressant la chaine de ses menottes contre la gorge de l’homme qui suffoqua. Michaël pris alors un air menaçant et leur somma de le laisser partir sans quoi il tuait le juge sur le champ. Tous le public forma une haie d’honneur jusqu'à la porte de la sortie de l’autre coté de la salle. Puis Michaël appela un des gardes qui se rapprocha, et avec une rapidité incroyable il lui asséna un violent coup de tête et se saisit de son arme avant d’en user une de ses balles sur son propriétaire. Le garde s’écroula sur le sol. Mourant sans avoir eu le temps de comprendre ce qu’il s’était passé. Sous les yeux du publiques déjà choquer, il brisa ses chaines en les saisissants et en les arrachant, libérant par la même occasion ses pieds. Il plaqua alors le juge contre lui grâce à son moignon, son bras n'ayant pas perdu de sa superbe puissance et pointa le canon de son arme contre sa tempe. Sa force était incroyable et Tristan eu du mal à comprendre sa véritable nature, mais même ainsi il ne pouvait rien faire, Michaël était armé et incroyablement rapide. Il ferma alors la salle et la bloqua avec un banc puis on entendit un coup de feu et un bruit de course rapide. Immédiatement les militaires s’organisèrent, ils appelèrent des renforts, lancèrent des avis de recherches et appelèrent une ambulance pour les deux victimes. Tristan aurait put faire exploser cette porte mais il jugea que ce n’était pas la peine de se dévoiler ainsi, avec sa vitesse hors du commun, il était peut déjà loin et aussi étrange que cela puisse paraître, il ne s’en intéressa pas plus que cela. Il laissa donc les choses faire.




Des semaines après l’incident, Tristan et Lisa se retrouvèrent en Afrique. Elle restait dans une base sécurisé en tant que chef d’infirmerie et ne s'occupait que des petits problèmes du quotidien quand elle avait de la chance.

Tristan lui partait souvent en mission, soit en reconnaissance dans le désert pendant plusieurs jours, soit dans les montagnes pour débusquer l’ennemi. De nombreuses fois il avait prouvé sa valeur en tant que leader d’équipe et en tant que sniper. Notamment lors d’une poursuite contre des pirates du déserts, alors qu’a la suite de plusieurs jour de recherche, lui et son équipe les avaient traqués sans relâche, ils les retrouvèrent enfin en train d’attaquer une caravane marchande. Dans ce désert, l’effet de surprise était à exclure puisque a part des dunes de sable, il n’y avait rien pour les cacher, et avec une telle distance, ces bandits avaient le temps nécessaire de supprimer tous les marchands avant de répliquer. Il ordonna alors aux cinq hommes l’accompagnant de se mettre en position avec leur fusil. Et d’attendre son signal. Ils se positionnèrent avec précaution et lorsqu’ils eurent tous une cible différente, le signalèrent à leur chef. Il lança alors le départ des hostilités et la première vague de balles s’élança à travers le sable. Contrairement à ses camarades qui ne visaient que grosso modo la tête ou le cœur, Tristan tentait d’atteindre des poings plus précis, ainsi il toucha sa première victime dans la tempe droite, le deuxième qu’il enchaina dans la tempe gauche, et un dernier auquel il transperça la jugulaire. Lorsqu’il n’en resta qu’un, il s’amusa avec lui, tirant d’abord dans sa main, puis dans l’autre, il l’immobilisa dans le sable en éclatant les rotules de ses genoux. Le laissant ainsi en vie pour répondre aux actes de son groupe. Sur les dix bandits, ce fut lui qui réussit le carton avec quatre victimes.

Ils transportèrent le blessé en civière et rentrèrent à la base, se déplaçant rapidement dans le désert grâce à leurs chameaux. Et ne s'arrêtant que pour accepter les quelques cadeaux des tribus nomades qui les voyait passer avec leur butin.




Durant la dernière soirée avant d'arriver à la base, Tristan s'isola de son groupe, il se mit à l'abri des regard et lorsqu'il fut sur que personne ne pouvaient le voir, il relâcha ses épaules dans un soupir. Il laissa ses bras pendre le long de son corps et tourna son regard vers le ciel étoilé. Une lumière brillait dans son regard, ho trois fois rien, un sentiment qu'il connaissait bien mais qu'il ressentait dès qu'il posait les yeux sur le ciel, surtout quand ce dernier était limpide et d'un bleu merveilleux, il ne cessait de se dire que le temps était parfait, qu'il pourrait tellement s'amuser, retrouver cette sensation. Voler lui manquais énormément, il ferma les yeux et respira lentement, s'imaginant dans les airs au milieu de cet étendu d'étoiles, soustrait à toute force gravitationnel il cherchait a retrouver cette douce sensation si exquise qui transportait son cœur, ce dernier ne pouvant être ramené que par la jeune femme qui l'attendais à la base. Il réouvrit les yeux en pensant à elle et retint un cri de stupeur. Le choc avec le sol fut rude et ses jambes prirent un tel coup qu'elle ne purent le retenir il s'affaissa dans le sable, que c'était-il passé? Il était dans les aires il y a quelques instants, à au moins 5 mètres du sol! Il regarda ses paumes puis ses pieds et eu la surprise de constater que ses rangers étaient troué et avec des traces de brulures. Était-ce une nouvelle apparition de ses pouvoirs? Pouvait il vraiment voler? Il se releva en regardant si personne n'arrivait suite à son cri et une fois qu'il fut sur, il referma les yeux et se concentra, à quoi avait-il penser? A son avion, son tout premier vol, il rouvrit précautionneusement les yeux et vit bien le sable à quelques mètre en dessous de lui se dissipant en cercle autour de lui. C'était son feu qui sortait de ses pieds! Malheureusement il ressenti une grosse fatigue d'un coup et s'écroula à nouveau. Il frappa le sol de mécontentement, c'était trop court, il n'avait pas assez de puissance. Il réfléchit un moment et ouvrit ses paumes vers lui, en se concentrant il fit une des choses qu'il savait faire, aspirer la chaleur. La nuit n'était pas encore assez avancé pour dissiper la chaleur du jour. Un deux trou se créèrent dans ses paumes, l'un ne semblait rien faire alors que de l'autre jaillissait une petite flamme bleu. Tristan sentait cette énergie circuler en lui, entrant par la paume gauche, traversant son corps et ressortant de manière plus intense par la droite. S'il pouvait créer du feu ainsi, pourquoi pas utiliser cette technique pour voler?
Il se leva une nouvelle fois et pointa ses mains vers le ciel. Rapidement, des trous noirs apparurent tous le long de ses bras dénudés, il senti l'énergie circuler en lui, il se concentra alors pour la redirigé vers ses pieds. Le résultat ne se fit pas attendre, après une bref secousse du au décollage, Tristan s'éleva dans les aires. Il monta avec prudence, se concentrant sur la circulation du flux chaud à travers ses fibres. 5 mètres, 10 mètres, 15 mètres. Il eut le bonheur de voir qu'il n'avait pas besoin d'oiseau de fer pour le porter mais arrêta rapidement son expérience, trop fatigué pour continuer. Mais il était enthousiaste et savait que dans cet Afrique, en plein jour il pourrait surement faire de meilleurs essai. Mais il savait qu'il ne pouvait pas se soustraire ainsi sans raison à son équipe, et pas question de leur en parler. Déjà qu'il avait du mal à le cacher à sa bien aimé...




Ils revinrent à la base, une nouvelle équipe s'occupa du prisonnier, d'abord l'équipe médicale, et la jeune infirmière reconnut tout de suite les exploits de son amant, le même schéma à chaque fois, immobilisé la victime sans lui causer de blessures mortel. Elle sourit intérieurement, ce grand bonhomme n'en était pas moins un gamin et il en face de ce genre d'individus il était comme un chat jouant avec une souris, mais elle l'aimait malgré ce petit défaut, elle savait qu'en dehors des criminels il ne ferait pas de mal à une mouche.

Plus tard, Tristan et elle se retrouvèrent et s'isolèrent non loin de la base pour un peu d'intimité. C'est alors que le jeune capitaine décida de tout lui révélé. Il espéra que son ouverture d'esprit ne s'arrêtait pas aux mutants. Elle mit du temps à réaliser. Elle repensa à toutes ces années durant lesquelles elle ne s'était douté de rien. Mais elle se dit qu'il ne lui avait pas menti! Juste caché la vérité, mais ce n'était pas un mensonge et donc elle n'avait pas à lui en vouloir. Elle l'embrassa tendrement en guise de réponse et pour lui exprimer son amour toujours aussi sincère. Les craintes de Tristan s'évaporèrent alors et il soupira avec joie. Il lui parla alors de ses dernières découvertes et de ses expériences. Lisa en était amusé, elle retrouvait le même gamin le jour ou il avait effectuer son premier vol, les yeux brillants et débordant de curiosité. C'était cet homme là qu'elle aimait, peu importe ses gênes.

Dès qu'il le pouvait, Tristan s'entraîna, de jour comme de nuits, parfois sous le regard protecteur de son amoureuse, sinon à l'abri de tout autres personnes.




Un jour, il fut déranger durant une partie de carte par un appel. On l'informa d'une nouvelle mission, une troupe d'agent américain avait été kidnapper, l'acte avait été revendiqué par un groupe de terroriste demandant la libération de membres de leur groupe. De part la réputation de sa troupe, on demanda alors à Tristan de les retrouver. Pour seul aide, on lui fourni les dernières coordonnés GPS connu. Dans les deux heures qui suivirent, il avait monter une équipe de 10 soldats et ils étaient prêt à partir. Lisa le regarda partir avec la même boule au ventre qu'elle avait chaque fois qu'il partait. Lui et sa troupe avaient une tenu de camouflage couleur de sable, fait de tissu léger, ici un gilet par balle était inefficace puisque sur ce terrain irrégulier il fallait être rapide et agile. Tristan avait un plan et il en fit part à son équipe. Celle ci la trouva risqué mais fondé et donc gardèrent confiance en leur chef. Tristan savait à quoi correspondait ces coordonnés GPS il s'agissait d'un chemin au beau milieu d'un canyon, endroit rêvé pour une embuscade. Mais que venait faire des américains ici? Ce coin de l'Afrique était un trou paumé à part la guerre. Que préparaient-ils encore? Le capitaine et ses hommes arrivèrent sur les lieux peu avant que le soleil ne soit au plus haut dans le ciel et trouvèrent alors le décor d'une triste scène de combat qui avait eu lieu il y a quelques heures. Son contact lui avait bien dit que les américains avaient été capturés durant la soirée de la veille et envoyé leur message au milieu de la nuit. Il n'apparaissait aucun morts mais deux véhicules avait des traces de brulures du à l'explosion proche d'un missile qui l'a même retourner. Tristan et ses hommes fouillèrent les véhicules, mais le bruit d'armes que l'on armait attira leur attention, ils levèrent la tête et virent que des hommes tous aussi bien armés qu'eux les maintenait en joug. Tristan leur dit alors de baisser leur armes. Ils avaient été imprudents et maintenant eux aussi étaient faits prisonnier.

On les fit marcher, deux ou trois heures sous un soleil terrible, puis ils arrivèrent dans une grotte à l'ombre d'une falaise escarpé. L'endroit était sombre et mal éclairé, les parois de pierre étaient humide il fallait que Tristan se baisse pour parcourir l'endroit. On les jeta dans un cachot et la porte claqua derrière eux. La seule source de lumière venait de celle qui passait par la petite fenêtre de la porte. Une fois qu'ils furent seul, Tristan regardèrent autour d'eux et virent un groupe d'homme replié dans un coin. Tristan leur parla en américain, leur demandant si c'était eux le groupe fraichement kidnappé, il répondirent par l'affirmatif et le jeune capitaine se tourna vers ses hommes.




-Bien la première partie du plan à fonctionner.

-Et maintenant? Demanda l'un de ses soldats.

-Et bien on attend qu'ils nous ouvrent la porte...




Il regarda les premiers prisonniers et vit des marques de tortures sur eux, ces hommes voulaient bien plus de choses qu'une vulgaire libération, ingénieux, demander quelque chose d'impossible pour gagner du temps... Il recula alors jusqu'à la paroi derrière lui et ferma les yeux pour réfléchir. Il senti différente source de chaleur dont une plus importante, quelques minutes passèrent puis une ombre suivit de plusieurs autres obstrua la source de lumière. Tristan se releva d'un bond et lorsque la porte s'ouvrit il fonça sur le premier venu et le frappa d'une violence inouie au visage, il senti alors plusieur cross de fusil lui marteler le crâne et le corps et un autre homme s'indigner, Tristan comprenait cette langue, apparemment il allait être celui qui souffrirai le plus avant de mourir. On lui shoota dans le ventre avec férocité, sonné, on l'emporta ensuite à travers un dédale de tunnel, il garda les yeux ouvert pour mémorisé le chemin, plus ils marchaient, plus il sentait la source de chaleur se rapprocher.

Ils pénétrèrent dans une salle et deux homme la plaquèrent sur une table sous le regard inquisiteur du troisième. On fixa ses membres avec des sangles de cuir épais et on arracha les vêtements qui couvraient son torse. Tristan regarda autour de lui et vit derrière ses bourreau une imposante cheminée qui renfermait un feu important, l'un des deux hommes s'approcha d'un gros soufflet, de ce que l'on pouvait trouver dans les forges d'autrefois et attisa les flammes. Le chef du groupe s'approcha de lui et parla anglais.
« Sombre crétin, vous vous êtes jeter dans la gueule du loup comme des agneaux, tu aurais mieux fait de rester chez toi! »
Sa voix était grinçante et son accent fortement prononcé. Ses yeux de fennec se tournèrent vers ses hommes et l'un deux s'approcha avec une barre métallique au bout rougit par la morsure du feu. Voilà donc de quelle manière ces traces de brulures étaient apparu sur le corps des hommes qu'il avait vu dans la cellule. Il l'avait deviné et préparé la suite de son plan consistant à les obliger à le corriger. Il fit mine d'écarquiller les yeux et accéléra sa respiration comme si la simple vu de ce qu'ils allaient lui faire le terrifiait.

Le bourreau aposa avec une forte pression le métal bouillant sur le ventre du capitaine et celui ci hurla d'une douleur... feinte. Rapidement il se tut et les regarda avec un sourire satisfait.

-Bouh! Il cracha alors au visage de l'homme des gerbes de flammes qui lui brulèrent le visage et lui fit lacher le morceau de métal refroidit. Il brula ensuite ce qui l'entravait sous le regard dubitatif de son séquestrateur. Il se mit alors à reculer en psalmodiant, Tristan cru retenir un nombre impressionnant de fois le nom d'Allah. Tristan ria et lui répondit:

-T'en fais pas tu va le rejoindre! Il se rapprocha en un éclair de lui et d'un geste précis et rapide fit faire un demi-tour à sa tête dans un craquement macabre.

Il se tourna ensuite vers le dernier homme debout, il s'était plaquer contre le mur, trop terrifier pour user de son arme. Le mutant se rapprocha de lui et le saisit à la gorge. Le sommant dans sa langue de lui dire ou était ses armes. Une fois qu'il put comprendre sa réponse entre deux sanglot il le jeta dans le feu et le regarda mourir en se concentrant pour intensifier la morsure des flammes. Puis il dirigea son bras vers la cheminé et se concentra, un trou se créa dans sa main et aspira la totalité des flammes. Il se sentait incroyablement bien et incroyablement fort. Il s'arrêta devant l'homme au visage bruler qui se tordait de douleur sur le sol et saisit la barre de métal près de lui. Il ne daigna même pas le regarder lorsqu'il le tua afin d'abrégé ses souffrances. Puis il se positionna face à la porte et détecta la chaleur des corps derrière. Il se concentra alors et toutes l'atmosphère autour de lui se refroidit. Deux sortes de canon couleur de chaire grandirent dans ses paumes et il tira deux puissantes boules de feu dans les murs, les explosant. Les hommes derrière furent projeté avec violence contre les paroi rocheuse. L'instant d'après, une torrent de flammes inonda les tunnels ou Tristan passait. Il arriva devant la cache d'arme et pris les plus gros fusils qu'il pouvait. Il retourna ensuite vers la cellule et ouvrit la porte, trouvant sa troupe et les américains aux aguets derrière. Il rigola et donna les deux fusils mitrailleur à ses hommes leur ordonnant ensuite d'escorter les américains vers la sortie. Le reste de sa troupe reparti avec lui pour chercher à nouveau des armes. Ils trouvèrent aussi de nombreux kilo de plastique et s'empressèrent de les dispersés dans toutes la grotte. Ils échangèrent quelques tirs avec le peu d'ennemi qu'ils croisèrent puis sortirent en courant après avoir armé les charges et programmé leur détonation. A peine la lune eut elle le temps d'illuminer leur chemin qu'ils entendirent la première explosion. Le sol se mit à trembler et ils coururent encore plus rapidement pour ne pas être toucher par quelques fracas de rocher. Un pan entier de la falaise s'effondra et souleva un nuage de poussière et de sable qui se répandit dans tout le canyon. Le groupe de Tristan et les américains se réfugièrent dans des creux de la montagne ou derrière les rochers. Une fois que tout redevint calme. Ils sortirent et reprirent leur souffle, ensuite, Tristan passa entre tout le monde pour vérifier comment ils allaient, seul l'américain torturé était mort. Il demanda alors s'il y avait un chef dans leur groupe. Celui ci se présenta à lui.
-Que faisiez vous dans le coin.
-Je ne peux vous le révélé. Répondit l'agent visiblement déçu de ne pouvoir accédé à la faveur de celui qui lui avait sauvé la vie. C'est un secret gouvernemental.
-Alors pourquoi votre gouvernement nous as contactez nous?
-Je suppose que vous étiez les plus près et les plus aptes à réussir. Écouter, j'aimerai vous prouver ma gratitude, je ne peux rien vous dire au sujet de notre présence, néanmoins si vous aviez un quelconque besoin d'aide appeler moi. Il sorti alors un morceau de papier et griffonna dessus son nom et son numéro de portable. Tristan accepta et garda le papier dans sa poche. Puis ils reprirent le chemin de retour.

-Mais au fait, comment avez vous réussi à vous libéré? Demanda l'américain, la question intéressa d'ailleurs ses compatriote qui se rapprochèrent pour entendre la réponse.

-Vous pensiez vraiment qu'on serait venu pour se faire capturer si on avait pas de plan? Tristan leur sourit et ses hommes rigolèrent légèrement en pensant qu'en effet, a part cette méthode pour les retrouvés, ils n'avaient pas préparé de plan.

-Et en quoi consistait ce plan? Demanda son interlocuteur curieux?

-Ha désolé secret gouvernemental! La ses hommes éclatèrent de rire et ils continuèrent leur route.

Le retour à la base fut chaleureux entre Lisa et Tristan, il lui expliqua à elle seul ce qui s'était réellement passer en évitant de lui évoquer les détails sur la manière dont il avait tué ses adversaires gardant juste le fait qu'il s'en était « débarrassé ». Il repensa ensuite à l'agent et retranscrivit son numéro dans un petit carnet ou il détenait d'intéressantes informations, on pouvait y trouver des numéros de téléphone mais aussi des mots doux pour sa belle car il connaissait sa curiosité et savait qu'elle était friande de ce genre de chose. Puis il retournèrent ensemble pour connaître un peu mieux leurs invités.

Ce fut un 12 Décembre, ils avaient tous deux 22 ans, et le troisième avait quatre mois. Un petit garçon qui attendait de voir le jour dans le ventre de sa mère. Ce jour là ou une couette épaisse et froide recouvrait la ville ou il avait grandit, Tristan et Lisa allait s'unir, pour le meilleur, oui, uniquement le meilleur à tous jamais. L'église aurait put passer pour banale si les proches des deux époux n'avait pas insisté pour la décoré. Fleurs parsemé un peu partout, drap blancs, fanion breton, les colonnes de pierres froide étaient habillés d'étoffes légères et blanches.

Aucun des deux époux n'étaient vraiment religieux, mais la famille de la belle ainsi qu'une partie de celle de Tristan avait absolument tenue à ce qu'ils face cet acte dans la maison de de Dieux. Le Tableau avait tout pour être parfait et respirait le bonheur. Dans l'allée principale, de la porte jusqu'à l'autel dans le cœur de l'église, un tapis rouge brodé d'entrelacement d'or avait été posé, le sol était jonché de pétales odorantes et colorées. Face au prête dans sa longue robe blanche ou était tissé une croix beige, Tristan écoutait, vêtu de son costume d'apparat de capitaine. Il s'agissait d'une veste bleu marine aux boutons d'or marqué des armes de l'armée de terre. Il tenait dans le creux de son bras gauche sa casquette de l'armée de l'air, une large casquette ronde et blanche flanquée des armes de l'armée aérienne. A sa droite, se tenant droite comme un i anxieuse et comblé de joie, la belle Lisa ne cessait de retenir ses larmes de bonheur. Ses boucles dorées étaient disposées de part et d'autres de ses épaules son sourire était plus chaud qu'un soleil d'août. Sa poitrine se soulevait dans son corset blanc au rythme de sa respiration qu'elle tentait de maîtrisé, son buste était nu mais le corset recouvrait parfaitement sa poitrine, ne laissant qu'un léger décolleté afin de ne pas choquer l'homme d'église. Son corset semblait être entièrement en dentelles et laissait donc en parti ressortir son teint halé il était accroché derrière avec un fil doré semblable à celui qui nouait ses long gants blancs qui recouvrait la quasi totalité de ses avant bras. Un fil du même style servait à noué la robe et un autre serrait sa jartelle. En clair pour leur nuit de noce elle voulait qu'il enlève entièrement ces fils d'or avant de consommer leur mariage, un acte mettant une fois de plus sa patience à l'épreuve. Puis vint le moment de l'échange des consentements, ils allaient se dire « Oui », un simple mot qui allait bouleversé leur vie à tout jamais. Le prêtre se tourna d'abord vers Tristan, et lui récita ce à quoi il s'engageait, c'était un discours étonnamment long pour lui dont les lèvres ne brulaient que du désir de dire ce simple mot, trois lettres, un mot usager, et pourtant le voilà réinventé. Il s'était tourné vers elle et lui sourit avec amour. Puis vint le tour de Lisa qui tenait fébrilement son bouquet de roses aussi rouges que ses lèvres. Il lui récita pour elle aussi ce à quoi elle voulait se tenir toutes sa vie.

Mais au moment ou il aurait fallut qu'elle dise oui, il y eu un grand fracas dans le lieux sacré. Tristan eu à peine le temps de se retourné qu'une douleur foudroyante lui perfora l'abdomen et le plaqua au sol, au pied de l'autel. Lisa hurla et se pencha sur lui en cherchant du regard le responsable de cet acte.

Elle le vit sur le palier de l'église, un pistolet mitrailleur de type uzi dans sa main valide et une prothèse métallique comme une épée sur le moignon. Son regard était tranchant, son sourire diabolique. Le canon encore fumant pointer vers la ou se trouvait peu de temps avant la poitrine de son ancien camarade. Des cris d'horreur et d'effroi s'élevèrent, parmi eux les hurlements des parents. Le père fut le premier à se lever... et le premier à mourir. Son corps s'écroula, suivit ensuite par celui de sa femme. Ils tombèrent comme des mouches sous les tirs frénétiques de Michael, il n'épargna personne, homme, femme, enfant. Tous aussi innocent qu'ils pouvaient l'être rejoignirent en un instant le paradis. Tristan, encore en vie, assistait à ce spectacle impuissant, incapable de bouger ni de parler. Pourquoi? Que se passait-il? Il avait tellement de mal à respiré, si mal dans la poitrine, et incapable de se concentrer pour utiliser ses pouvoir. Le massacre se termina avec la petite fille d'honneur, pas plus âgée que de 5 petites années. Lisa n'avait plus de voix tellement elle était inondé par ses larmes, elle tenait les mains de celui qui aurait dû être son époux maintenant, elle regardait tous ses proches mourir sans qu'elle n'est la force de faire quoique ce soit, elle était sous le choc. Puis retenti le rire glacial du protagoniste de ce macabre retournement de situation.

-Tu vois Lisa, tous ça n'aurait pas dû arriver, si tu avais fais le bon choix.

Soulever alors par la colère, une vague de haine mêlé à la plus grande tristesse qui soit, elle se releva et coura sur lui, le frappant de toutes ses forces contre son torse bombé lui hurlant de lui rendre ceux qu'elle aimait! Ses parents, sa famille, son mari!

Mais au lieu de lui rendre. Ce dernier lui pris encore. Il planta sa lame brillante dans le ventre de la belle, transperçant en deux un être qui n'avait pas encore vu le jour. Il tourna la lame dans tous les sens la faisant se plier, hurler d'une douleur insoutenable! Tristan n'était plus qu'à moitié conscient, ces images se figèrent dans son âme, et il ne pouvait rien faire. Elle tomba à genou sur le sol et le regarda partir, comme il était venu, tranquillement, sur de lui. Comme s'il venait de faire les courses. Lisa pleurais encore, les mains plaqué sur son ventre, elle savait qu'elle avait perdu son bébé mais bientôt c'était la vie qui allait lui échapper. Elle se retourna alors et rampa, rampa au milieu des cadavres, rampa dans les flaques de sang, croisant les regards vides et les visage crispé d'horreur de ses proches. Elle rejoint son amour et se blotti contre lui. Il n'avait qu'un pouls très faible et était tomber dans l'inconscience. Elle lui dit alors du mieux qu'elle le put.

-Je sais ce dont... tu es capables... Tu peux vivres. Laisse toi faire.

Elle déposa un dernier baiser sur ses lèvres et lui dit alors qu'il ne pouvait plus l'entendre:

-Oui je le veux.

Elle se blotti alors tout contre lui et l'embrassa encore. L'effet attendu arriva, elle frissonna, sentant la chaleur la quitter. Il pourrait peut être tenir jusqu'à l'arrivée des secours pensa-t-elle. Une femme désespéré qui donna tous ce qui lui restait de vie à celui qui avait tout représenté. Le corps de Tristan réagissais inconsciemment en aspirant ainsi la vie de la jeune femme, mais avant qu'elle ne perde connaissance, elle eu la satisfaction de sentir son pouls plus fort et plus intenses. Puis les ténèbres l'envahir...

Il rouvrit subitement les yeux et pris une profonde bouffée d'air. Il mit quelque seconde à se rappeler ce qu'il s'était passé, puis il se redressa en hurlant.

-Lisa!!!!! Son cri déchira la nuit et le silence de sa chambre. La porte s'ouvrit à la volée et des infirmiers ainsi que des militaires vinrent forcé le capitaine à se rallongés. Celui ci hurlait de rage voulant savoir ou elle était. On dut lui injectant une dose de paralysant pour qu'il cesse de bouger en étant toujours conscient. Les médecins le piquèrent de manière à ce qu'il puisse au moins parler:

-Capitaine, est-ce que miss Duvallet à eut le temps de vous prendre pour époux?

Tristan fouilla dans sa mémoire, mais son dernier souvenir était celui du corps de celle qui aurait du être sa femme être transpercer au niveau du ventre par son pire ennemie.

-Non, elle ne l'a pas eu.

-Alors je suis désolé, mais mademoiselle Lisa Duvallet est morte d'une hémorragie, et son bébé ...

-Quoi son bébé?

-Je préfère ne pas vous révélez l'horrible vérité.

-Dites le c'est un ordre!! dit-il, mais la phrase qui se voulait être dite de manière très imposante ne fut finalement qu'un murmure. La personne en face de lui réfléchit, il portait sur lui ses vêtements de fonction, il était colonel et donc n'avait pas à recevoir d'ordre, mais il répondit tout de même:

-La lame qui à transpercé votre femme à littéralement coupe l'embryon en deux.

L'image de la petite vie qu'il avait put voir lors de la première échographie, l'image de cette petite chose coupé en deux retourna l'estomac du soldat et on dut lui tourner la tête pour qu'il ne se noit pas dans son rejet gastrique. Le colonel soutint cette vision et poursuivit:

-Nous avons retrouver le corps de votre fiancée...

-Ma femme. Coupa le capitaine.

-Techniquement et officiellement, elle n'est pas votre épouse, donc ...

-C'était ma femme!!!! Elle aurait dut dire oui... Elle aurait du... Il fondit en larme et pleura tout son soul pendant que l'homme froid continuait:

-Nous l'avons retrouver contre vous, les traces montres qu'elle à ramper pour mourir à vos côtés.

Mais ces mots n'apaisèrent pas le jeune homme qui pleurait sans retenu, des rivières de tristesse se déversèrent sur ses joues et mouillèrent son oreiller.

-Capitaine, nous n'avons trouver aucun survivant à part vous, alors savez vous qui est le coupable de ce massacre?

Il resta silencieux un instant reprenant lentement son calme et répondit d'une voix chevrotante mais un regard noir:

-Non!

-De quoi vous souvenez vous?

-La lumière du jour m'a ébloui, je n'ai vu qu'une fine silhouette, puis on m'a tiré dessus, et plus rien.

Le colonel accusa le coup et réfléchit un instant avant de sortir la phrase classique:

-Si vous vous rappelez quelque chose, faites le savoir.

Puis il sorti, et peu à peu Tristan retrouva sa mobilité. Il avait menti, menti à un supérieur, mais il voulait garder ça pour lui. Le visage du meurtrier, graver à tous jamais dans sa mémoire.

Dès qu'il put , il demanda à ce qu'on l'amène à la morgue, vu son état, on l'y amena en fauteuil roulant. Il dut reconnaître les cadavres d'une centaine de personne, ses parents, ses grand-parents, ses amis, ses soldats, la famille de Lisa et ses amis. Le choc le plus redoutable fut de voir le visage de celle qui l'aimait sur cette table, il posa une main tremblante sur son front et colla son visage contre le sien en pleurant il déposa un dernier baiser sur ses lèvres et on le ramena dans sa chambre. Il ne dormit pas pendant des jours, ressassant le passé, se rappelant de toutes ces personnes qu'il avait perdu. Même son enfant... Il n'était plus que la moitié de lui-même et n'avalait pas plus d'une bouché par repas.

Le jour de l'enterrement, on lui permis de sortir, il pouvait marché et avait décidé de partir. Il y'eu de nombreuses cérémonies successives, il avait demander les plus importante afin d'y assister, ses parents et sa fiancée. Il avait demandé à ce que l'on mette sur la stèle qu'elle reposait avec son bébé. Il resta un long moment agenouillé, puis un homme tout de noir vêtu s'approcha de lui et posa une main qui se voulait réconfortante sur son épaule.
-Que souhaitez-vous faire à présent?
-Je ne sais pas.
-Retourner dans l'armée?
-Non. Lui répondit il sur un ton morne.
-Je peux vous la faire quitter afin que vous puissiez toucher votre pension. Je n'ai quà faire un rapport psychologique disant que vous n'êtes plus apte à aider votre pays.
-Oui vous devriez faire ça. Continua-t-il d'une manière parfaitement détaché, ne détournant pas le regard du nom écrit sur la pierre.

L'homme le laissa ensuite seul. Il resta de longues heures ainsi, ne bougeant plus, respirant à peine. Ce fut lorsque le gardien le sorti de sa torpeur qu'il se décida à partir. Il retourna en Afrique pour s'exiler, s'isoler du reste du monde, il partit dans le désert le plus brulant de la planète.

Cela faisait deux mois qu'il était arriver dans ce lieu désert ou seul pouvait survivre les lions et antilopes et d'autres animaux habituer à ce climat. Il chassait pour survivre. Évitant quand même de devoir tuer des animaux trop gros qu'il ne pourrait manger seul. Un jour ou il essayait de trouver des traces, tomba sur une surprise inattendue. Un lionceau était étendu à ses pieds inconscient, la raison ne se fit pas attendre, il remarqua tout de suite son pelage d'un blanc immaculé. Il imaginait bien le fait que ce petit ai put être rejeté par sa meute dès qu'ils s'en sont rendu compte. Mais ce bébé était bien trop gros pour n'être née que quelques heures auparavant. Il ne comprit pas cela mais se dit que son flair pouvait être utile.

Il garda donc le lionceau qui se révéla être une femelle et l'éleva, la nourrissant de lambeaux de chair qu'il faisait cuir. En grandissant elle développa donc son flair et fut d'une grande utilité pour l'ancien militaire. Il erra sans fin dans ce désert cuisant n'ayant pour seul activité que de développé ses capacités. N'ayant plus aucune raison de se cacher il se permettait de voler à son gré et augmenta suffisamment sa puissance pour se permettre de monter assez haut dans le ciel, mais au bout d'une certaine hauteur il était obligé de changer son moyen de propulsion, passant de l'aspiration de la chaleur à la création. Il passait pas mal de temps dans les aires, seul moyen de pensé à autres chose et retrouvait à chaque fois sa lionne à son retour.

Puis un jour, comme pour briser la monotonie de ce quotidien, Tristan aperçu une silhouette entre les dunes. Il ne connaissait pas cette personne, Akilah la jeune lionne l'avait senti avec son odorat et grogna comme si son diner approchait. Tristan lui avait un pressentiment, il était rare de voir quelqu'un au milieu de nul part. Il décida de le prendre par surprise, ils contournèrent l'homme et se cachèrent derrière une dune de sable. L'homme avait les cheveux long et noir, il était étrangement vêtu, il n'arrivait pas à déterminer la matière de ses vêtements, son haut était de couleur sombre et n'avait pas de manche, ses bras avaient l'air solide, une ceinture doré serrait son pantalon au niveau des hanches, il ne bougeait pas. Tristan ordonna alors à Akilah de l'attaquer, la lionne s'élança en silence mais au moment de se jeté sur l'inconnue, une force mystérieuse la repoussa, une lumière bleu qui l'avait frapper simplement pour la repousser.

-Mec, personne ne m'a jamais pris par surprise. Dit l'inconnu, il se retourna révélé un visage asiatique, un regard d'un bleu glacial, son visage portait une horrible cicatrice au niveau de yeux, il vit aussi un x orné sa ceinture, et il parlait en américains.
-Qui êtes vous? lui demanda Tristan du haut de la dune.
-On m'appelle Biakko. Lui répondit le japonais.
-Et c'est qui « on »?
-Les x-mens.
Tristan le regarda avec curiosité, il ne connaissait aucun x-mens, et ne se doutait même pas de leur existence.
-Que venez-vous faire ici?
-Vous parlez...
Il le regarda avec méfiance. Akilah revint vers lui, elle n'avait rien, nul doute que s'il l'avait souhaiter il aurait put la tuer. Il descendit vers lui et serra la main qu'il lui tendit. Tristan lui dit de le suivre jusqu'à une oasis non loin de la ou ils auraient l'opportunité de discuter à l'ombre.

L'étranger attendis qu'ils soit arriver au lieu dit avant de vouloir parler puis Tristan lui demanda:
-Comment êtes vous arriver ici?
-Et vous? Comment avez vous atterrit ici?
-Ça ne vous regarde pas et répondez moi!
Ce «Biakko » comme il avait dit se nommer le regarda un instant puis répondit:
-J'ai voler.
Et avant que son interlocuteur ne lui demande comment, il déploya de magnifiques et lumineuses ailes, elles brillaient d'un bleu éclatant comme le ciel.
-C'est grâce a ça que vous avez rejeté Akilah?
-Qui ça?
-Ma lionne, Akilah signifie ''intelligence '' par ici.
-Je vois... et bien oui si on veut c'est grâce à ça.
-Et pourquoi me cherchez-vous? D'ailleurs comment vous m'avez trouver et comment vous avez su ou j'allais attaquer?
-Beaucoup de questions, deux réponse. Tout d'abord j'ai été envoyer par Charles Xavier, il est le directeur d'un institut pour jeunes surdoués, plus communément appelé « repère à mutos » pour les plus grossier, il héberge les mutants et son groupe, les x-mens, dont je fais parti. Il m'a demandé de vous retrouver pour vous inviter à nous rejoindre.

-Comment me connais-t-il?

-Ce n'est pas important pour le moment. Notre combat est de préserver la paix entre mutants et humains et aider ces derniers afin qu'ils nous acceptent parmi eux.

-Et comment m'avez vous trouver?

-Cela fait parti de mes dons.

Tristan le regard dubitatif, il croisa son regard avec sa lionne et repris en se relevant.

-Et bien désolé, je ne suis pas intéressé.

-Le professeur Xavier savait que vous risquiez de dire cela, aussi m'as t-il chargé de vous remettre un message.

-C'est à dire?

-Il est à New-york.

Tristan s'arrêta mais ne se retourna pas vers son interlocuteur et lui demanda:

-Qui?

-L'homme à la main unique.

L'image de Michaël apparut dans l'esprit de Tristan et une colère sourde l'envahit, Biakko le ressentit et dressa un bouclier bleu juste avant qu'un torrent de flamme ne s'abatte sur lui. Inondé par sa colère, Tristan avait absorbé toutes la chaleur autour de lui, l'herbe à ses pieds avait a présent des traces de givre. Pour toutes réactions, Mayuchito eut un sourire en coin.

-J'avais justement besoin de me dérouillé un peu.

Le bouclier se transforma en poing qui frappa de plein fouet le jeune breton et l'envoya hors de l'oasis. Il le rejoint ensuite et se tint droit face à lui, attendant qu'il frappe. Il avait atterrit dans une dune de sable, la chaleur environnante lui donnais un avantage certain, avantage qu'il comptait bien utiliser. Il fonça hors du sable en projetant des murs de sable sur son passage, son pouvoir accélérant sa vitesse. Il bondit et projeta son pied vers le visage du japonais, mais celui ci plus vif qu'un félin se baissa et pivota pour passer en dessous lui et se saisit de son autre pied pour le projeté à nouveau dans le sable. Il se releva et refit face à son adversaire, l'entrainement reprenant ses droits sur sa colère, il tourna autour de son adversaire et tenta deux trois assaut pour le jauger, celui ci parât tous! Il avait beau l'attaquer sous tous les angles rien ne passait, le pire c'est qu'il ne contrattaquais même pas, il frappais juste aux ouvertures que laissaient Tristan, comme pour lui donner une véritable leçon. Cela l'irritais au plus haut poing, lui qui n'avait jamais subit pareil défaite même contre michaël. Il lui lança alors:

-Bon sang mais attaque moi!

Le jeune homme qui semblait avoir son age le regarda, c'était le même regard depuis le début, froid, distant, comme un mur. Puis soudain, le tigre frappa, vite, bien. Sa maîtrise des arts martiaux étaient incroyable! Il ne faisait pas que les utilisés, il les réinventa pour le battre, chaque pas, chaque coups étaient inspiré de plusieurs arts et maitrisé pour ne laisser aucune failles. Tristan se prenait coup sur coup, il comprenait alors que jusque la il ne s'était pas battu, il l'avait juste regarder faire ses coups trop académiques.

Finalement lorsqu’il voulu le frapper à nouveau au visage, Tristan le bloqua. Il haletai et transpirait abondamment, ses longs cheveux collaient à son visage et sa barbe brillait des perles de sueur.

Il décida alors de jouer le tout pour le tout, un trou se créa derrière son crâne et Tristan donna un coup de boule propulser qui surpris Biakko et l'assomma un instant, instant suffisant à Tristan pour lui joindre ses mains en un kamehameha improviser, concentrant un maximum de puissance et de feu pour l'attaquer à bout portant. Biakko eut tout juste le temps de créer un bouclier sommaire devant lui pour éviter de n'être tuer, le choc fut rude, le bouclier se brisa et Biakko fut projeté dans un grand cri de douleur, enterré vivant dans une dune. Il en ressorti grâce à son pouvoir. Comprenant que cela devenait trop sérieux et qu'il fallait le calmer il allait tout de suite mettre un terme à ce combat.

-Tu ne peux plus me battre x-man. Dit calmement Tristan, il créa alors un triskell de feu devant lui et continua. Le triskell représente les éléments les plus importants de la nature, le vent, le feu, et l'eau. Toi qui n'en maîtrise aucun, comment peux tu penser être capable de me battre?

Il voulait mêler les éléments à ça? Ok! Le Biakko sorti alors ses véritables griffes, il se concentra et il y'eu une explosion d'énergie en lui, son corps était traversé d'une multitude d'éclair. Ses yeux étaient lumineux et ses cheveux noirs dansait autour de lui.

-Alors imagine ce que certain pensent, l'eau et le feu, le chaud et le froid, ces deux éléments réunis créent la foudre. Et si on en croit ta représentation alors je suis plus fort que toi.

-Quoi! S'écria Tristan qui n'avait pas encore vu cette capacité. L'instant d'après, un tigre de foudre se jeta sur lui et le frappa de plein fouet, il avait l'impression que des milliers de pics le perforait encore et encore, chaque muscles, chaque parcelle de son être était soumis à cette douleur atroce, l'impression de bruler de l'intérieur et le rythme cardiaque qui atteint des sommets. Puis plus rien.

¤Suite et fin de mon histoire¤

Lorsqu'il rouvrit les yeux, les étoiles étaient déjà nombreuses dans le ciel africain, il se sentait étrangement bien, n'avait mal nul part malgré ce qu'il avait subit, il se releva avec précaution cherchant quelque chose de familier près de lui. Il croisa d'abord le regard d'Akilah qui était allongé près de lui, sa robe reflétait la lumière de la lune d'une manière assez féérique. Puis une voix attira son attention.

-Ta lionne est très courageuse, au moment ou tu es tombé à terre elle t'as attaqué et j'ai eu du mal à la tenir éloigné pendant que je te donnais un peu de mon énergie.

-Tes pouvoirs... sont vraiment incroyable...

-Détrompe toi, je n'ai qu'un pouvoir, mais ma force vient du fait que je sais ce dont je suis capable et je peux donc laissez libre court à mon imagination. Tristan se releva et l'aperçu derrière un feu, ils étaient dans l'oasis. Il était calmé à présent. Il fixa son regard indéchiffrable qui ne reflétait aucune de ses pensés ou de ses sentiments.

-Y'a t-il une chose que vous ne puissiez pas faire avec votre pouvoir?

-Bien sur, je ne peux maitriser que la foudre, je ne peux aspiré l'énergie des autres, je ne peux ramené les morts à la vie, et mes boucliers ne sont pas sans faille, d'ailleurs tu à dut me casser quelque côtes je pense, ton attaque était très puissantes, les miennes ne le sont pas vraiment, a part le côté foudroyant...

-Vous voulez dire qu'il y'à des gens plus puissant que vous?

Biakko éclata de rire. Puis lui dressa une liste de personnes contre qui il avait perdu ou contre qui il était susceptible de perdre. Tristan resta un moment silencieux puis demanda:

-Vous pensez que ce Charles Xavier pourrait m'aider à tuer mon ennemi?

-Honnêtement? Pas du tout.

Tristan fut surpris de cette réponse, Mayuchito argumenta alors.

-Il pense surement qu'en vous amenant à l'institut il pourra vous parler et vous convaincre de tourner la page, ho pas d'un coup bien sur mais petit à petit, il vous dira qu'il peut vous aider mais vous donneras ses informations au compte goutte puis finalement vous oublierez pourquoi vous êtes venu et vous deviendrez un bon x-man.

-Vos paroles sont surprenantes pour quelqu'un qui est censé le représenté.

-C'est un homme bon, il ne pense pas à mal en faisant cela. Il vois je crois votre haine comme une maladie et veux vous guérir.

-Je comprend... Mais aucun remède ne pourra jamais me guérir... Tristan baissa la tête en fronçant les sourcils, il repensait à Lisa, son visage si doux et son sourire chaleureux, ses cheveux brillant volant autour d'elle... Il re-croisa le regard de son interlocuteur et lui demanda sur un plan plus personnel.

-Êtes-vous marier Mr No Ryuu?

Biakko ne répondit pas tout de suite. Il continua de fixer le jeune homme tout en laissant s'envoler un souvenir qui l'avait traverser.

-Non.

-Le regrettez-vous?

-Non, j'ai été élevé comme un guerrier, et toute ma vie j'ai du me battre. Je ne pense pas pouvoir rendre une femme suffisamment heureuse ainsi.

-Mais vous êtes déjà tomber amoureux non?

La encore il resta silencieux, il n'avait pas pour habitude de parler de lui ainsi mais bon, il ne risquait rien.

-Oui, j'ai été amoureux. Une fois...

Le visage de Karine revint dans l'esprit du x-man, mais il la chassa tout aussi rapidement, il continuèrent de parler un long moment, puis ce fut à Biakko de lui demander ce qu'il lui était arriver, Tristan lui raconta alors son histoire, il lui dit toute la vérité, sans conditions, Biakko comprenait à présent la nature de cette haine si intense qu'il sentait en lui.

-Si Michael est vraiment à New-York, connaissez-vous quelqu'un qui pourrait m'aider à le retrouver?

-Il y aurait bien les confréristes, c'est un groupe de mutant auteur de nombreux actes terroriste, leur leader est un ancien ami du Professeur Xavier. Je ne pense pas qu'ils puissent vous aidez à les retrouver, mais au moins ça vous fait une autre adresse ou aller. Mais attention, si vous y entrez, vous serez considéré comme un ennemi, par l'Etat, et par les X-mens et nous seront sans doute amené à nous affronté...

Les deux hommes se fixèrent intensément, les souvenirs de l'affrontement de l'après midi étaient encore récent dans leurs mémoires.

-Quel est votre but Biakko? Vous me dites de me méfié de votre chef et vous aller même jusqu'à me donner l'adresse de votre ennemi. Tous les X-mens sont-ils comme vous?

-Non, mes idées sont un peu différente, je ne pense pas qu'une paix entre Humains et Mutants est possible, mais je ne veux pas non plus les faire disparaître, je veux juste que les mutants soit reconnu comme supérieur à l'homme, nos pouvoirs font de nous des demi dieux comparés aux humains, et nous méritons le respect des homo sapiens. Dans ce but, j'ai décidé de suivre une femme.

-Qui ça?

-Elle se nomme Wanda Maximoff Lensherr, j'ai décidé de la protégé et de lui servir de bouclier parce que sa destinée est grande, j'en suis convaincue, mais elle à disparut de toutes circulation voilà plusieurs mois.

Tristan l'écouta en silence, mais une question le turlupinait.

-Mais pourquoi rester chez les X-mens alors?

-Parce qu'elle à besoin d'homme dans les deux groupes, afin d'accueillir le plus de monde possible à sa cause.

Il baissa les yeux et réfléchit aux paroles du japonais.

-Et pourquoi ne pas me l'avoir proposé? Vous me jugez trop faible?

-Disons plutôt qu'il est trop tôt...

Puis les premières lueurs de l'aube firent leur apparition, signe qu'il était temps pour Mayuchito de s'en aller. Tristan lui parla alors d'une faveur.

-Prendre Akylah?

-Oui, je ne peux la laisser seule ici, et puis le Zoo de New-York est réputé, elle y sera bien traité, après tout c'est une lionne blanche, c'est rare...

Biakko réfléchit un instant, allait il supporté le voyage jusqu'à New-York? Bah il avait déjà fait un voyage semblable. Il accepta et assomma l'animal avec une légère décharge électrique, puis Biakko évoqua le fait qu'il aurait surement une prime pour cela et ils établirent la marche à suivre. Puis finalement le x-man s'envola avec le félin. L'heure de l'exil tirait donc sur sa fin pour Tristan, malheureusement, ces trois ans passés dans le désert lui avait fait perdre ses repères géographique. Il choisit alors au hasard une direction et vola, puis lorsqu'il n'avait plus d'énergie ou trop fatigué pour se concentré, il continuait en marchant ou se reposait. Il lui fallut 5 jours pour rejoindre la civilisation, malheureusement il avait atteint l'Afrique du Sud. Et son dernier pied-à-terre se trouvait en Égypte. Il fit alors demi-tour et re-disparut dans le désert, un mois plus tard il arriva en Égypte. La première chose qu'il fit fut d'aller à son coffre dans la banque national ou il avait déposé toutes ses affaires trois ans auparavant récupérant l'argent qu'il y avait laisser aussi, ses vêtements, son épée, son arme à feu et les munitions qui vont avec, et ses tenues militaires, autant dire quasiment toute sa vie se trouvait dans ce coffre. Il alla ensuite dans un hotel assez correcte et loua une chambre. Après avoir pris une douche et commanda des vêtements propres dans le magasin de l'hotel, les autres étant plus devenu des bouts de chiffons bon à jeter qu'autre chose. Il sorti ensuite et s'acheta un téléphone. Il sorti ensuite son carnet et retrouva le numéro de cet américain, comment s'appelait il déjà? L'agent Barnett... Il composa son numéro et attendis. L'agent fut d'abord surpris de l'entendre puis Tristan lui fit par de sa requête, il devait l'aider à retrouver Michael, il lui donna comme informations qu'il n'avait qu'une main valide, l'autre étant remplacer par une arme blanche. Puis il retourna à l'hotel. Il nettoya son arme et ne sorti pas pendant des jours regardant uniquement la télévision et les chaines d'informations, il avait loupé beaucoup de chose durant toutes ces années dont l'avènement de héros mutants ou non. Iron man... Captain América il apprit qu'il y'a quelque mois il y avait eu une terrible épidémie qui avait décimé une part importante de la communauté mutante. Et depuis quelque jours une toute aussi terrible guerre civile avait lieu pour rendre publique l'identité des mutants. Avec tout cela il comprit que Barnett n'était pas prêt de lui donner des nouvelles.




Et en effet, plusieurs semaines passèrent, Barnett n'avait toujours pas donné signe de vie, jusqu'au beau milieu d'une nuit sans lune. Tristan ne dormais pas encore, observant le monde extérieur par sa fenêtre. L'agent du FBI lui apprit que son ennemi juré avait un groupe de mercenaire à New-York, ses membres étant tous aussi des mutants, ils ne font pas beaucoup parlé d'eux mais il eut une activité accrue pendant les événements civil war. Il ne lui laissa pas le temps de finir et prépara ses affaires pour le voyage en avion.




Ayant ranger sa valise dans la soute à bagage, il passa le reste du voyage à trouver un moyen de lretrouver une fois arrivé à New-York. Une fois arriver, il déposa ses bagages dans un hotel et alla au zoo. Après quelques minutes de discussion avec le directeur et surtout après avoir calmer Akilah qui depuis son arrivé attaquaient tous ceux qui l'approchait, il obtint un pass vip pour venir la voir gratuitement.




Puis la première nuit à New-York arriva. Tristan passa un moment dans un bar, puis sorti et arpenta la ville. C'est alors qu'on le frappa violemment à la tête et qu'il s'écroula au sol.

Lorsqu'il revint à lui, il était dans un entrepôt vide. Devant lui deux hommes, un plutôt mince les cheveux tombant sur ses épaules portant un marcel sur son corps squelettique, le deuxième était une sorte de bibendum, un stéréotype des nouveaux américains élevé au grain génétiquement modifié. Puis derrière eux...

-MICHAEL!!!!

L'homme se tenait debout face à lui qui était sur le ventre, c'est là qu'il prit conscience qu'on lui avait entravé les poignets. Il fit alors pleuvoir de nombreuses injures sur lui, la rage le prenant aux tripes. Le visage de ce dernier n'avait pas changer depuis cette journée dans l'église, les joues creusés, faisant plus vieux que ce qu'il n'était, ses yeux lui donnait l'air d'un junkee et ses cheveux étaient en broussaille.

-Oui moi aussi ça me fait plaisir de te voir mon vieil ami. Cette phrase eut pour retour une nouvelle vague d'injure. La haine aux tripes, Tristan se releva et malgré qu'il était attaché aux poignets il se précipita vers lui, mais c'est la qu'un des types s'interposa et tristan senti une boule le frappé violemment aux ventre, lui coupant le souffle.

-Je te présente bumbum billard, tu saura je pense pourquoi on l'appel billard, après bumbum...

-C'est le bruit que font mes boules quand je m'acharne sur un corps pour le réduire à l'état de mélasse.

Une boule noir au numéro huit lévita alors au dessus du corps du jeune breton et le frappa au ventre, Tristan avait l'impression de se prendre un poing mais en plus compact et solide. Pendant ce passage à tabac, Michael lui parla:

-J'ai été assez surpris d'apprendre ta venue ici mon ami, je devais vraiment te manquer cruellement. Pour toutes réponses il n'eut qu'un grognement entre deux coups douloureux, il contractait autant qu'il pouvait ses abdominaux. Tristan devait se ressaisirent, il visualisa le visage ensanglanté de Lisa et roula sur le côté alors que la boule qui allait encore le frapper s'écrasa avec fracas dans le sol. Très agilement, l'homme se repositionna sur ses pieds et bondi sur son adversaire pour le frapper au visage. Son adversaire fut projeté aux pieds de Michael qui regarda son homme de main d'un regard amuser.

-Je peux le tuer? Demanda bumbum avec la rage dans le regard.

-Mais bien sur cher ami si tu le peux.

Tristan profita de ce moment pour bruler discrètement ses liens et se préparé au combat. Son adversaire se releva et leva les paumes vers le haut. Plusieurs boules de billard éparpillées dans la pièce répondirent à son appel silencieux et se réunirent autour de lui, il en lança une dans sa direction, Tristan placa ses mains en face de lui pour vouloir l'intercepter, mais la puissante télékinésie de l'homme le surpris et il eu le souffle coup après avoir encaisser le coup dans la poitrine et compris qu'il n'arriverait à rien de cette manière, il analysa la situation. L'homme était plutôt lent à lancer ses boules mais une fois parti elle atteignait une vitesse prodigieuse. Il en esquiva malgré tout quelques une. Dans l'espoirs d'ailleurs d'échapper à une nouvelle salve, il dut courir en direction du mur et se projeté en arrière après s'être appuyé contre la façade. Il n'atterrit sur le sol, mais sur une boule, il s'aperçut qu'elle pouvait supporter son poids et su quoi faire. Il retomba au sol, se retourna, et fonça vers la nouvelle attaque, il sauta, pris appui sur la boule, et se projeta à terre le bras armé et prêt à frapper. Mais l'homme au regard de fennec sourit jusqu'au oreilles et lança d'un coup toutes ses boules pensant qu'il n'avait plus moyen qu'il lui échappe.

Tristan les vit arrivé et eu un sourire en coin, une boule de feu apparut dans sa main, modifiant sa trajectoire et le propulsant sur le côté. Il atterri près de l'homme alors sans défense qui ne comprit pas comment! Et le bras de Tristan se tendit pour laisser exploser cette formidable énergie qui dévora sans cérémonies le corps de son adversaire dans les cris et l'odeur de viande trop cuite. Il posa un genou à terre, cette attaque lui avait demandé énormément d'énergie et il était exténué, dans le désert ça n'aurait pas été un problème, mais ici la création de feu lui demandais plus d'énergie. Il entendit des applaudissement derrière lui.

-Ca alors, mon meilleur ami était comme moi un mutant, et je l'ignorais! Hahahaha et tu n'as même pas eu le pouvoir de protégé celle qui t'aimais...

Ces paroles eurent un coup de fouet pour Tristan qui se releva et fonça sur lui mais son deuxième homme de main intervint alors.

-Tout doux, tu ne l'atteindra pas.

-Casse toi de mon chemin si tu ne veux pas mourir! Il créa alors deux boules de feu dans ses mains pour montrer sa détermination, mais son interlocuteur s'en amusa et lui répondit:

-On m'appelle nova, et moi aussi je maitrise le feu, alors tes pitoyables attaques je m'en fiche! Il projeta violemment Tristan aussi loin que possible, puis il dressa ses deux bras vers le plafond de l'entrepôt et une boule de feu d'un rouge flamboyant apparu, la puissance qu'elle dégageait était incroyable, Nova eu alors un rire guttural et hurla:

-Entre nous, il n'y a qu'une règle! Le plus chaud gagne!

Il fit alors grossir son attaque jusqu'à ce qu'elle atteigne un diamètre d'au moins 5 mètres, Tristan se dit alors que s'il avait raison il avait de grande chance de bruler vif, il ne résisterais pas à une telle attaque. La boule de feu lui fonça dessus et il ferma les yeux, pensant que finalement il allait la revoir.

La boule de feu le frappa de plein fouet créant un dôme de flamme tout autour de lui, il y eut d'abord un hurlement puis plus rien, de l'extérieur, Nova pensait que c'était déjà fini et le regretta presque. Soudain une douleur lui transperça le cœur et il mourut avant d'avoir toucher le sol. Michaël qui n'avait pas tout compris non plus ne vit qu'une silhouette flou parmi les flammes. Tristan avait hurlé en pensant qu'il aurait mal, mais il se rendit compte que le feu tout autour de lui lui caressait la peau comme s'il ne s'agissait que du vent, il se sentait étonnamment bien, il vit sur son corps des trous se créer et senti même les cheminées dans son dos poussés, déchirant ses vêtements. La puissance l'envahit alors qu'il absorbait ce feu intense, il ne s'était jamais senti aussi puissant, chaque pulsation de son cœur se répercutait sur la pulsation des flammes. Il regarda ses mains et ses avant bras, il avait des arabesques de feu sur ses avants bras qui entourait les trous. Il y'avait encore ce Nova de vivant, il l'avait pointer du doigt et un monticule c'était formé au bout de celui ci, et il tira un rayon rougeoyant dans sa direction, il n'entendis que le bruit mat de la chute de son corps lourd. Il se concentra encore et le dome de flammes autour de lui tourbillonna et fut aspiré en lui.

C'est sous l'apparence d'un démon qu'il réapparut, son visage était déformé par deux paires de cheminées qui partait des joues et du front, il y'en avait six aussi dans son dos et dans le prolongement de l'avant-bras au niveau du coude.

-Si Lisa te voyait.

Il écarquilla les yeux et dut esquiver un premier jet de flammes dans sa direction, Tristan lui dit alors.

-Ne prononce plus jamais son nom, tu n'en as pas le droit.

-Et qui va m'en empêcher? Toi?

-Je vais te tuer.

-Alors entretuons nous!

Ils se foncèrent dessus et c'est Michael qui donna le premier coup. Plus rapide, il tentait de frapper les poings vitaux de son adversaire mais celui ci arrivait à tous les bloqués. Tristan le frappa alors et le projeta un peu plus loin. Avec sa rapidité de mutant, il revint l'attaquer de front et chaque coup produisait un choc terrible. Les deux anciens amis ressortaient à présent tous leurs tripes, toutes ses années passées à s'entrainer ensemble ne semblait avoir que pour unique but de préparer ce combat à mort. La rage de Tristan prenant le pas, il commençait à prévoir les coups de son adversaire, à prévoir comment il allait le tuer. Un jet de flamme aurait put suffire mais il voulait le faire souffrir. Il entendit une troisième côte se briser sous ses poings et l'ange déchu vomit un flot de sang. Tristan sous sa forme « démoniaque » l'attrapa alors par la gorge et le souleva de terre. Son visage ne reflétait qu'une sombre colère. En voyant cela, Michael se mit à rire et lorsque Tristan lui demanda pourquoi, il répondit avec une simplicité agaçante.

-Parce que j'ai réussi!

-Tu as réussi quoi?

-Toi! Ma marionnette, imagine la tête de ta bien aimée si elle te voyait, tu es devenu un monstre grâce à moi. A partir de cet instant tu ne pourras plus aimer, tu ne ressentira la joie qu'en détruisant celle des autres qui ne comprennent pas ta peine. Tu seras rejeté de tous et tu n'excelleras que dans la destruction des autres!

Ces paroles retentirent dans la tête du jeune breton comme un gong sinistre. Il savait en lui qu'il avait raison, il avait été manipulé dès le début, ses traits se raffermirent alors et un sourire mauvais s'afficha sur son visage.

-Alors meurs par la main de ta créature! Il lui soutira alors toute sa chaleur, 37°, 36, 35, 30, 25 °. Les yeux de Michael se refermèrent et un dernier craquement sonore mis fin à ses jours. Mais pour Tristan ce n'était pas fini, il bouillait intensément, sa colère ne faisait que s'intensifier. Il hurla de rage et de désespoirs le nom de celle qu'il ne reverrait plus jamais. Son pouvoir pris le pas et une tempête de feu dévora tous le bâtiment qui fit disparaître le jeune homme dans la nuit. Il n'avait plus aucun but après en, que de la colère. Qu'en faire? Simple, s'en servir pour la destruction des autres et de leur bonheur comme on à détruit le sien. Il allait maintenant rentrer à la confrérie.