Histoire :

An 1672.
" Petite soeur ! Cours chercher père, mère et la maître Barry, va les prévenir, les pirates arrivent ! Fais-les passer par la porte de la bibliothèque pour rejoidre le fort. Ne t'habille pas et dépêche-toi !
-Mais... et toi Suzanne ?
-Ne t'inquiète pas pour moi je vais juste leur mettre quelques obstacles pour les retarder, je vous rejoins dés que possible ! Allez, cours les chercher !"

La petite fille de 13 ans dû se résoudre à obéir à sa grande soeur, elle disparu au détour du couloir dans un bruissement qu'émit sa chemise de nuit. Suzanne se dirigea vers les grands escalier du hall, là, sans plus se soucier de faire du bruit ou non, elle fit basculer les armures qui montaient la garde sur les marches pairs. Après quoi, elle alla à sa chambre, ouvrit son coffre, en vida le contenu pour sortir une épée ciselée qu'elle avait coutume de manier en cachette. Elle était elle-même en chemise de nuit, une tenue très peu appropriée pour le combat, mais tant pis. Et puis c'était uniquement en dernier recours. Elle se dépêcha de retourner sur le balcon intérieur sur lequel donnait l'escalier actuellement encombré. Là elle attendit. Déjà on entendait en bas les coups portés sur la porte ainsi que des bruits divers tels des coups de feu, cris et... à son plus grand écoeurement, des rires sadiques et pervers. En tant que femme elle ne ferait pas long feu si elle se retrouvait entre les mains de ses brigands. Ceci dit... elle n'allait pas non plus leur livrer sa famille sur un plateau d'argent ! Ses parents à moitié valides, elle était la seule à peu près capable de défendre cette maison. Les domestiques étaient tous dehors e train de se faire tuer. Rien qu'à cette idée elle ne put s'empêcher de s'en vouloir de ne pas être elle aussi à l'extérieur pour les aider. Les pirates entrèrent, elle retrouva sa fougue et, quand ils furent au bon endroit au bon moment, elle fendit la corde qui retenait le lustre qui leur tomba dessus.
Elle ouvrit le bar qui se trouvait derrière elle et commença à lancer des bouteilles sur les assoifés de sang qu'ils étaient. Dans l'ensemble ça marcha assez bien... Enfin, cela n'empêcha pas quelques incidents comme celui de changer le lustre en un grand brasier ou celui d'obliger les pirates à escalader les arbres pour se retrouver au niveau de l'étage supérieur. Suzanne entendit une fenêtre se casser. Elle fit volte face et se prépara à se défendre. Elle n'avait pas pensé aux arbres... finalement, elle n'était plus trop sûre de pouvoir rejoindre sa famille.

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Comment, en tant que fillette désirable de 18 ans, avait-elle réussi à se faire une place dans un équipage de pirates ? N'allons pas trop vite en besogne ; elle ne faisait pas à proprement parlé partie de l'équipage, elle était là parce qu'une rançon ne fait jamais de mal aux brigands des mers, et qu'en plus sa présence féminine était justement désirable. Bon, l'ennui sur lequel se heurtait ces marins c'est qu'elle était très bonne combattante (et tient très bien l'alcool). Il faut savoir ensuite qu'après l'attaque de la demeure de ses parents, ceux-ci perdirent toutes leurs richesses. Il leur fut donc impossible de répondre à la demande de rançon. Au final, elle dû trouver un moyen de se faire respecter si elle voulait rester en vie... et avec des pirates il suffit de devenir une source d'argent pour que cela leur suffise. Suzanne fit un jour la proposition de faire partie d'un pillage. Cela la répugnait mais c'était ça ou bien elle finissait au fond de l'eau dans les jours qui suivaient. Elle fit le pari au capitaine de ramener le quart du prochain pillage. Elle fut mise sous surveillance durant tout le pillage mais au final...

Pari réussi. Elle connaissait l'emplacement des finances dans les forts français, grâce aux anciennes relations de ses parents. Elle connaissait aussi le fonctionnement des tours de gardes, et avec un peu de dextérité et des coups d'épée, elle ramena de quoi satisfaire le capitaine. Mais si son exploit lui sauvait la vie, il avait également un lourd tribu : celui d'être devenue une criminelle sans pouvoir jamais plus trouver l'hospitalité dans la civilisation. Son avenir n'allait plus que dans un seul sens : rester pirate, et se battre pour se faire respecter dans ce monde d'hommes.

Son séjour sur le navire dura six ans avant que quelque chose d'intéressant ne vint interrompre les divers pillages, soirée de beuverie (durant lesquelles elle se faisait un plaisir de tromper aux dés les hommes pour augmenter son capital). Après ses six ans passés en mer ils retournèrent à l'île qui leur servait de point d'encrage. Elle n'y était encore jamais allée. Généralement on la laissait à bord avec un garde pour la surveiller pendant que les autres mettait à terre le fruit de leurs pillages. Cette fois-ci, étant considérée comme pirate à part entière, et le capitant ayant bien conscience qu'elle était allée trop loin maintenant dans la piraterie pour espérer trouver une place convenable dans la société, elle participa au débarquement. Et en effet, elle fut très sage et se plia à la manoeuvre à suivre, répondant de temps en temps à une invective grossière qu'on lançait à qui voulait bien l'entendre.

Et dire qu'elle était obligée de vivre cette vie... elle, si cultivée, elle, de sang noble... ceci dit, elle s'était mise dans de beaux draps toute seule. Il leur fallu bientôt repartir. Avant de se lever, Suzanne vit au millieu des magots un objet étrange. Une bague en onix avec un saphir en son centre et de fines veines d'un diamant pure qui parcourait par intermitence la noir. C'était une petite bague, que seuls des doigts très fins pouvaient chausser. Par pure curiosité elle l'enfila. Cette bague était vraiment très belle...

Elle entendit crier la capitaine, apparemment sa patience avait des limites et la marée aussi. Suzanne entreprit d'enlever le bijou en quatrième vitesse, n'y arrivant pas, et faute de mieux, elle mit de gants pour la cacher et revint à bord de navire. Ils prirent de nouveau la mer, et de nouvau Suzanne regarda son avenir comme un cercle ; sans cesse prit dans celui-ci il n'y avait pour elle aucun moyen de sortir de la monotonie qui l'accablait. Tuer, piller, ramener les trésors... boire, manger, faire de piètres rencontres et tuer.
Et ne plus jamais revoir sa famille.

Dans son hamac qui tenait lieu de lit à bord elle avait du mal à s'endormir. La bague lui faisait mal et lui sciait le doigt, pourtant elle n'avait eu aucun mal à l'enfiler et elle était pile à sa taille... Elle retira son gant. À sa grande stupeur, le bijou était à moitié enfoncé dans sa chair, pas étonnant qu'elle ait mal. Elle se rendit aussi compte qu'au moment où elle retira son gant un liquide chaud se mit à couler le long de sa main. Quelle force extérieure pouvait bien faire en sorte que ce machin rétrécisse ? Elle avait déjà entendu parler de trésors maudits par les autres membres de l'équipage, mais elle n'y avait jamais vraiment cru. En regardant mieux le saphir celui-ci devenait de plus en plus clair, et à l'intérieur, en une étrange lumière bleutée, qu'elle avait d'abord pris pour un reflet de lune, elle pouvait voir un triangle.

Au fur et à mesure que le bateau se rapprochait du triangle des Bermudes la bague rétrécissait.

Cette nuit-là il y eut une tempête. L'équipage en avait connu de belles, mais aucune de cette ampleur, et celle-ci semblait décidée de les jeter dans la gueule du mystérieux triangle. Mais finalement, tout finit par se calmer. Suzanne avait du mal à retenir ses larmes de souffrance car à présent la bague lui brulait sans vergogne la chaire.... un phénomèe qui répandait une odeur caractéristique qui arriva jusqu'aux narines du capitaine. Celui-ci, comme frappé par une idée, se dirigea vers elle, pris sa main, retira le gant et devint blême quand il vit la bague.

"Le Dernier chant des morriganes...!"

Précipitamment il leva les yeux au ciel, devint cadavérique et essaya de lui remettre son gant mais ce fut peine perdu. Ils étaient bel et bien au beau milieu du triangle des Bermudes, un reflet de soleil éclaira bel et bien la surface de l'eau et son reflet tranperça bel et bien le saphir. Suzanne n'eut plus mal... mais difficile de dire si c'était dû au fait qu'elle ne ressentait plus rien ou si c'était parce que la souffrance avait atteint son summum. Puis tout disparu à ses yeux quand un chant magnifique de femmes emplit l'air.

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An 2008.

Une femme à moitié en vie dans une chemise et un pantalon de bure fut retrouvée sur la plage de New York pour être ensuite enmenée à l'hôpital le plus proche.

Nom : De Beauval

Prénom : Suzanne

Pseudo : Morrigane

Âge : Et bien... en considérant les années écoulées durant sa disparition dans le Triangle des Bermudes... elle aurait : 2008 - 1678 = 330 ans. Sauf que lors de cette période il semblerait que la son corps n'ait absolument pas vieillit, physiquement elle a donc toujours ses 24 belles années.

Race : Mutant

Groupe : Neutre (pour l'instant)

Caractère : Cultivée, elle a passé 6 ans à jouer la comédie pour sauver sa vie. Elle est maintenant une comédienne accomplie et peut facilement duper n'importe quelle personne normalement constituée et sans pouvoirs. Après son séjour dans le Triangle des Bermudes elle ne se souvient pas de qui elle est et a perdu toute sa mémoire affective. Pour ce qui est du reste elle en est encore à penser que l'Amérique est peuplée d'arborigènes... c'est pour dire quel choc énorme elle risque d'avoir en seréveillant. Ajoutons à cela que sa personnalité aussi a en partie changé. Elle n'ai plus du tout celle qui se sacrifie corps et âme sans penser aux conséquences mais au contraire elle prévilégie la stratégie et son intelligence qui semble avoir décuplée. Elle reste néanmoins douce et compréhensive et n'a pas perdu son bon fond.

Pouvoirs : peut s'octroyer les aptitudes des requins (j'ai pensé que mettre tous les poissons serait un peu excessif j'ai donc limité aux requins) + adapter les caractéristiques aquatiques à l'air libre (explication : donner à l'air un pression égale à celle que l'on peut trouver à des milliers de mètres de profondeur).

• niveau 1 : Elle ne contrôle absolument aucun de ses pouvoirs, il n'aparaissent que lors d'une émotion forte. Et en plus de ça ils sont un andicap sérieux. Tout d'abord, elle a besoin d'un apport en protéines quatre fois supérieur à la moyenne sinon sa faim l'amène à avoir une crise durant laquelle elle ne contrôle plus rien et où so,n pouvoir fait ce qu'il veut... autrement dit, manger tout ce qui passe. Pour ce qui est du deuxième pouvoir, elle ne peut pas l'utiliser sans émotion forte et il ne peut fonctionner s'il n'y a pas d'eau à proximité (celle-ci marche comme une pile, elle n'utlise pas directement l'eau mais plutôt ce qui s'en dégage pour que son pouvoir puisse se manifester). La quantité d'eau doit être tès importante, (au moins l'équivalent d'un lac).
  
• niveau 2 : Elle a un meilleur contrôle du premier pouvoir, et sa faim se manifeste moins souvent. Pour le second la quantité d'eau pour l'utiliser a diminué ; un étang. Mais elle ne le contrôle toujours pas et répond encore à une émotion forte.
  
• niveau 3 : Elle peut enfin considérer son premier pouvoir comme étant controlé... même si l'envie de sauter sur un hot dog se fait toujours sentir, qu'elle mange toujours pour trois personnes et qu'une émotion forte ou une crise (=une semaine sans manger de protéines) peut toujours la faire dérailler. Le second n'a comme amélioration que celle de la quantité d'eau nécesaire pour l'utiliser, maintenant cela se résume à une baignoire. Sinon, il répond toujours à une émotion forte et elle ne le controle toujours pas.
  
• niveau 4 : Le premier pouvoir est sous contrôle, elle mange pour deux, la crise arrive que si elle ne mange pas de protéines pendant un mois, et seule une émotion intense peut devenir catastrophique. Pour le second la quantité dont elle a besoin pour l'utiliser a encore diminué (un verre ou une vingtaine de personnes autour d'elle, puisque notre corps est contitué en grand partie d'eau). Elle peut enfin le contrôler partiellement, mais pour des faits mineurs. Ce contrôle lui demande beaucoup plus d'énergie que lorsqu'elle est sous une émotion forte qui accomplit faits majeurs dans son enironnement.
  

Lien entre les pouvoirs : Le premier pouvoir est là pour permettre à mn persoo d'aller sous l'eau et d'y respirer sans effort, ainsi que d'avoir une bonne défense au corps à corps. Le second, en rapport avec l'eau, fait un mixe entre l'air et l'élément aquatique car ayant hérité des pouvoirs de morriganes ceux-ci sesont adapté à sa conditions humaines. Les morriganes sont les sirènes bretonnes.

Famille & Origine(s) : Au moment de l'attaque des pirates ses parents et sa soeur cadettes partirent se cacher au fort. Là ils attendirent la fille aînée mais celle-ci ne montra pas le bout de son nez. Le maître Barris, professeur et philosophe philosopha un moment sur la vie et le mort avant d'oser soumettre l'hypothèse qu'elle ait été tuée par les pirates. Quand l'attaque fut finit, que le bateaut s'en fut avec les richesses amasséeds lors du pillage, chacun dû y mettre du sien pour reconstruire le village. La famille noble ne manqua pas à l'appel, et bien que les parents soient ivalides, une aide financière fut accordée afin que tout revienne en orde. Cette preuve de charité leur faisait oublié la mort de leur fille. Ce n'est qu'après être devenu aussi riche que les paysans de leurs qu'ils reçurent la demande de rançon. Quel coup fatal pour eux ! Impossible de rembourser, et alentour personne assez riche ne pouvait leur venir en aide. Ils durent attendrent quelques mois avant qu'un courrier qu'ils avaient envoyé à l'un de leurs lointains amis ne reviennent avec la réponse en post scriptum :

"J'aurais bien donner un peu de mon argent en souvenir de nos passés communs. Mais il semblerait que votre fille ait rattapé le temps en venant elle-même cueillir dans mes réseve de quoi enrichir son capitaine...

À bon entendeur..."

Cela emporta sa mère dans une dépression. Le père sentant ses jours eux-même compter, se précipita et commença à chercher un bon parti pour sa fille de 14 ans. À l'âge de 15 ans elle fut mariée à un jeune noble plein de promesse et qui avait bien voulu du nom "De Beauval" qui était largement descend dans l'estime de certains personnages de la Cour.

Le père mourut peu de temps après, ne laissant pas grand chose derrière lui sinon la certitude que sa descendance était assurée. Les enfants de Julie et de cet autre homme prient le nom de "du Cassi de Beauval". Dans l'ensemble cette famille survécu auxcaprices du temps, et par un certain miracle, le nom aussi. C'est d'ailleurs tout ce qui reste aux quelques familles française portant encore un nom de nobles. Mais mine de rien celle qui répond au nom du Cassi de Beauval s'en sort plutôt bien et réussi à s'intégrer dans la démocratie. De là dire si Suzanne sera capable retrouver leur trace... c'est une aure histoire...

(et puis franchement comment pourrait-elle leur faire croire qu'elle est leur arrière arrière arrière arrière arrière....etc.... arrière grande tante ?)

Description physique : Pour l'instant vêtue d'un pantalon de bure déchiré et d'une chemise de lin qui n'a plus de manches potables, Suzanne a toute l'apparence d'une étrangeté, bien qu'on attribue à un naufrage son allure vestimentaire déchiquetée. Le plus nétrange reste son épée qui est miraculeusement restée à son côté. Ce qui a d'abord laissser croire qu'elle était une colletionneuse d'oeure d'art. Sans papiers sur elle on a supposé que cette jeue femme de 24 ans au visage lisse et aux cheveux ondulés d'un brun aux reflets rouges (reflets qu'elle n'avait as avant d'entrer dans le triangle) les avait perdu pendant le naufrage. Quant aux vêtements ele avait dû choisir de se mettre en tenue décontractée, voilà tout ! Ils arivaient à tout expliquer sauf peut-être ce teint blanc-bleuté, un léger bleu à peine visible sous une lumière bien particulière. Au début on avait pensé à une baisse de température interne, mais au fil du temps cette nuance de bleu resta.
Enfin, rien de bien grave... Cette jeune personne au corps élancé et musclé était en vie, s'était tout ce qui importait.

Armes : sabre type 17ème.

Autres : je suis au taquet sur le graphisme !!! AUcune autre déclarations majeures à rajouter pour l'instant...
Edit : navrée pour le double post, je sais que c'est défendu mais j'ai fais un post d'une taille trop grand, le forum ne me l'a pas accepté... ^^'.

Personnage : Inventé

Célébrité sur l'avatar : aucune pour mon image.

D'autres personnages ? non

Codes des règles : Validés par Victor Creed II

Pour aller chez les Confréristes :
Tu
devras aller à la base de la Confrérie des Mauvais Mutants et y adhérer !
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Tu deviendra alors un Apprenti Mauvais Mutant jusqu'au Niveau 3 ! Tu devras apprendre à utiliser tes pouvoirs au sein de ton groupe pour augmenter en niveau, et pouvoir devenir par la suite un Mauvais Mutant Confirmé.

Pour aller chez les X-Men :
Tu devras aller à l'école des X-Men et t'inscrire !
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Tu devras apprendre à contrôler tes pouvoirs qui apparaîtront le long de ton aventure, jusqu'au Niveau 3 ! Tu pourra ensuite faire partie des X-Men Confirmés.


Ton perso peux rester neutre autant de temps que tu le souhaiteras...
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Bon jeu :)