Signalez vos absences à vos amis en allant dans votre Profil et en indiquant la durée. Les joueurs seront ainsi informé de votre inactivité.
Utilisez la liste des liens utiles pour naviguer rapidement sur le forum. Si vous rencontrez sur le forum un membre que vous n'appréciez pas et vous que aimeriez éviter, allez dans la gestion des "Amis & Ignorés" dans votre profil. Dans le jeu, vous avez connaissance de certaines informations concernant les autres groupes, mais votre personnage lui n'est pas censé connaître ces informations (missions, lieux de rencontre, membres...). N'abusez pas de toutes ces informations qui vous sont partagés, restez CRÉDIBLES. Vous devez respecter la logique du niveau de votre personnage comme ça l'est indiqué dans le sujet Système des Niveaux, dans ce même sujet, vous avez toutes les infos concernant les pouvoirs. Les multi-comptes sont autorisés pour vos personnages inventés.
Toutefois, vous n'avez droit qu'à un seul personnage Marvel par joueur. Lorsque vous souhaitez changer d'affiliation, faites-en la demande dans le sujet des Groupes. Arrivé au niveau 3, les apprentis devront passer une épreuve finale (examen), accompagné d'un ancien. En savoir plus. Consultez le lexique pour connaître l'origine de certains lieux, objets... Consultez régulièrement le Panneau d'Affichage des affiliations pour être tenu informé de leurs activités. |
|
Maëva Kareyton [terminé]<MaëvaDate d'inscription : 16/12/2007
Nombre de messages : 108
Age : 31
Doublon : Axelle K. Charmet
| |
Sujet: Maëva Kareyton [terminé] Dim 23 Déc - 16:15 | |
| Nom : Kareyton
Prénom : Maëva
Pseudo :
Âge : 17 ans et demi (elle en aura 18 le 1 Mai)
Race : - Mutant
Clan : - L'institut des Jeunes surdoués des X-Men
Caractère :Maëva est une jeune fille très discrète sur sa vie privée, ses opinions, son passé et ses sentiments. Elle cache cette partie d’elle. On devrait plutôt dire qu’elle la renie. Ses parents l’ont en quelque sorte « abandonnée » lorsqu’ils ont vu qu’elle était une mutante. Persuadée que, comme ses parents ne l’aimaient pas, personne ne pourrait l’aimer, la jeune fille s’est refermée sur elle comme une huître. Vu que ses parents ne l’aiment pas, elle ne s’aime pas elle-même. Triste raisonnement des enfants « abandonnés » par ses parents. Cette honte d’elle-même et de ce qu’elle représentait à l’idée d’être ce que ses parents qualifiaient de « monstre », elle ne s’est vêtue que de noir pendant des années, comme si elle désirait disparaître de la vue des gens. Durant des années, elle à subit un silence pesant à table, des regards fuyants de la part de ses proches, des remarques dérangeantes de la part de ses camarades de classe, qui, par chance, ne savait rien de ce qu’elle avait. A cause de ça, elle a prit la mauvaise habitude de tout prendre sur elle-même, sans broncher et d’attendre que les reproches, les insultes passent. Puis elle ira se défouler, dans un coin reculé ou personne ne pourra l’entendre ni la voir. Une fois toute sa colère déversée, elle retournera, un sourire paisible aux lèvres, vers les autres et mènera une vie qui semblera paisible. Maëva est une fille obstinée, têtue. Quand elle à une idée, elle n’en démord pas et sera prête à mourir pour celle-ci si elle en vaut la peine. Pour sauver sa vie, mais aussi celle de ses proches, la jeune fille est prête à tuer, à se faire tuer. Elle luttera jusqu’à ce qu’elle ne puisse même plus bouger un petit doigt, ni même remuer les paupières. Elle luttera jusqu’à ce qu’elle sente la mort s’infiltrer dans ses poumons, dans son sang, dans la moindre de ses cellules. Trop de générosité à donner. Par principe, elle ne parle pas d’elle. Selon elle, sa vie n’a aucune valeur, aucune raison d’être chérie. Son ancienne meilleure amie lui avait dit un jour qu’elle avait trop d’amour à donner mais qu’elle ne trouvait toujours pas la personne à qui donner cette effusion d’amour. Sur le plan des relations avec les autres mutants, Maëva ne parle que pour dire des choses banales, jamais un mot qui puisse dépasser un autre, dévoiler ses pensées les plus tristes ou obscures. Pour essayer de canaliser l’énergie qu’elle contient en elle depuis sa plus tendre enfance, Maëva s’est mise à la gymnastique. Elle adore pousser son corps aux plus loin de ses limites mais sait s’arrêter quand elle le doit. Chaque partie de son corps, elle le maîtrise. Elle essaye de maîtriser une maximum de choses, mais jamais elle n’arrivera contrôler ces souvenirs qui l’assaillent soudainement. Des souvenirs douloureux qui lui reviennent en mémoire avec des gestes significatifs. Jamais elle ne contrôlera la tristesse qu’elle ressent à l’idée que ses parents ne l’aiment plus. En revanche, quand la jeune fille est en colère, rares sont les choses en mesure de l’arrêter. Elle se mettra à hurler, frapper comme un démon, la rage sortante, plus puissante qu’elle. Elle n’arrivera plus se contenir et pourrait tuer par une simple colère, ne comprenant plus rien que les raisons de sa colère. Un conseil : en ces moments-là, fuyez. En plus, elle a de la mémoire et est rancunière. Après des années de mensonges, après avoir raconté un nombre incalculable de fois qu’on allait bien, Maëva a développé une sorte de don pour le mensonge. Elle arrive mentir à la perfection, sait quel ton prendre, quelle tête faire, que dire à quel moment. Elle arrive faire trembler sa voix (de rage ou de tristesse). C’est un grand atout pour elle qui essaye de ne pas laisser deviner ses sentiments même si à des moments c’est difficile. Après des années d’exercice, elle sait parfaitement mentir et arrive même savoir quand les gens mentent.
Pouvoirs : Peux voir les morts et leur parler
Niveau 1 : Elle peut voir les morts, les entendre, mais pas leur répondre. Mais un seul mort à la fois.
Niveau 2 : Elle arrive parler aux morts, avoir des discussions plus ou moins longues avec eux. Ca dépend de ses forces. Plus elle en a, plus le contact avec le mort est long.
Niveau 3 : Elle arrive toucher les morts, leur parler et les écouter. La durée du contact est indéfinie. Tant qu'elle veut, elle reste.
Niveau 4 : Elle peux voir et parler à plusieurs morts à la fois.
Niveau 5 : Elle arrive invoquer les morts.
Peut voir le passé.
Niveau 1 : Le passé s'impose à elle par flash, les visions sont floues, sans suite logique.
Niveau 2 : Elle contrôle mieux ses visions et arrive les repousser. La suite est logique, plus rien de flou.
Niveau 3 : Elle peut retourner dans le passé (y être physiquement et psychologiquement) mais pour un laps de temps très court. Elle arrive plus ou moins a choisir l'époque ou elle ira.
Niveau 4 : Son temps de séjour maximal dans le passé revient à plusieurs heures mais elle en revient extenuée.
Niveau 5 : Maitrise parfaitement ses allées et venues dans le passé, leur durée. Décide si elle a des visions ou si elle va dans le passé. Choisis parfaitement l'époque ou elle va aller.
Lien entre les pouvoirs : Tous les ouvoir sont en rapport avec des fantômes, l'un d'évenement et l'autre de personne.
Famille & Origine(s) :
Maëva a vu le jour dans une magnifique ville de Floride : Miami. Quelle belle ville que Miami. Toute son enfance, elle l’a passée, insouciante, dans les rues de cette ville. Sa mère était une avocate de renommée internationale, ventant son mérite. Elle a passé son temps à travailler pour donner le meilleur à ses enfants si bien que pour finir, Maëva a eu l’impression d’être délaissée par sa mère. Son père, lui, n’était que rarement dans la maison de Miami, mais parcourait les quatre coins du monde… Eh oui, un banquier ça bouge.
Maëva à deux frères aînés et une petite sœur. Kevin, Jimmy et Lyly.
Histoire : Quelle belle histoire, franchement, que l’histoire de la rencontre des parents de la jeune Maëva ! C’était en 1985, lors d’un procès d’un grand chef d’un réseau de drogue. Le procureur était une magnifique jeune femme qui faisait ses débuts et qui n’arrêtait pas de monter, était une jeune femme, aux cheveux d’un blond flamboyant. Ses yeux verts étaient glacés face à l’accusé, un homme dont elle détestait rien que la figure. De l’autre côté, l’accusé et son banquier, furieux d’avoir été trompé par le malfrat. Ce banquier était plutôt grand, des plus séduisants, un brin charmeur avec ses cheveux mi-longs bruns. Et ses yeux ! Ils plaisaient à tout le monde, bleu comme l’océan. Durant tout le procès, on se battit pour déterminer la peine dont écoperait le malfrat. Une centaine de témoins passèrent à la barre, des mois passèrent durant lesquels Erika Walatt, le procureur, enfonçait l’accusé. Elle était sure de sa victoire. Enfin l’accusé fut reconnu coupable et condamné à la perpétuité dans un bagne de Californie. A la fin du procès, Erika fut accostée par le banquier, Geoffrey Kareyton. Rapidement ils se lièrent d’amitié et, un an plus tard, on était à l’église célébrer l’union de deux amants. Une année encore passa, et un enfant naquit de ce couple si solide : Kevin. Il ressemblait en tout point à son père et ne manquait pas d’attendrir son entourage. C’était en 1988. 1989, un deuxième enfant ! Quelle chance, un petit garçon ! Kevin l’avait si longtemps demandé. Jimmy ressemblait en tout point à sa mère, les mêmes yeux verts, les mêmes cheveux blonds, aussi fins qu’un fil de soie. On attendit 1991 pour la naissance de la petite troisième, et de loin la plus intéressante, étant donné que cette petite était Maëva. Dès sa naissance, la petite intrigua l’entourage de la famille Kareyton, elle avait des cheveux blonds, mais d’un blond chaud et séduisant, tandis que ceux d’Erika étaient d’un blond glacial. Ses yeux, elle les tenait de son père. Dès le début de sa vie, Maëva fut choyée. Tout le monde l’adorait, elle était rieuse, amusante et tellement adorable ! Tellement adorable que ses grands frères en étaient presque jaloux. Mais cette jalousie se transforma vite en un amour débordant et un désir irréfrénable de protéger l’enfant. Eh oui, Jimmy et Kevin auraient été prêts, à 5 ans à peine, à tuer pour leur petite sœur. 1995, la petite dernière naquit. Lyly. Lyly ne ressemblait à aucun de ses parents, ce qui gênait assez l’entourage de la famille. Certes elle avait la même forme de visage que sa mère, mais ses cheveux étaient bruns et ses yeux. Lyly, une gamine que les parents Kareyton ne tardèrent pas à choyer comme ils choyaient ses frères et sœurs. Pourtant, ces parents travaillaient tout le temps, sans relâche. Il arrivait même qu’à table, ils quittent la maison pour retourner dans leur entreprise, appelés par leurs employeurs. Mais ils couvraient leurs enfants de cadeaux, alors qu’ils n’étaient jamais avec eux. Ils pensaient que cela suffirait, mais ils ne voyaient pas leurs enfants sauter sur leurs cadeaux, les maudissant. Pendant ce temps, Maëva et ses frères grandissaient, s’amusaient. Maëva était une jolie petite fille attirant les regards attendris des adultes, qui étaient morts de jalousie à l’idée de ne pas avoir cette petite fille. Les parties de cache-cache remplirent les journées de la fillette, les rires incessants dans la maisonnée rendaient ce petit monde encore plus agréable. La vie était parfaite.
A l’école, les quatre enfants étaient exemplaires. Ils travaillaient très bien, leur langage était soutenu (heureusement que les adultes ignoraient ce que les enfants se disaient quand ils se disputaient !). Lors de ses heures de libres, Maëva se mettait souvent au piano. Sa grand-mère, qui vivait avec eux, lui apprit comment « dompter » l’instrument et évoluer, au cours des mélodies, avec lui. Au début, Maëva n’était pas franchement passionnée par cet instrument, mais elle ne savait pas que, pour finir, il deviendrait son meilleur ami. La vie allait bon train, Erika et Geoffrey s’aimaient de tout leurs êtres, les enfants grandissaient et devenaient des enfants irrésistibles, de part leur beauté et de leur manières, leur politesses.
Dernière édition par le Jeu 27 Déc - 13:31, édité 1 fois |
MaëvaDate d'inscription : 16/12/2007
Nombre de messages : 108
Age : 31
Doublon : Axelle K. Charmet
| |
Sujet: Re: Maëva Kareyton [terminé] Jeu 27 Déc - 13:30 | |
| Vous l’avez finalement comprit, l’enfance de Maëva fut un réel rêve. Mais tout changea un triste soir de Décembre. Ce soir-là, sa grand-mère mourut. Bien qu’elle soit âgée, ce n’était pas sa vieillesse qui l’avait tuée mais une voiture qui lui avait violement foncé dedans. Toute la famille était plongée dans la tristesse, mais Maëva encore plus car cette femme lui avait fait découvrir milles et un trésors. Ce fut ce soir-là que le rêve que vivaient les Kareyton tourna court. Maëva, effondrée, retourna dans sa chambre, se coucher pour espérant que tout ça n’était qu’un mauvais rêve. Le lendemain, elle se réveilla, pâteuse, maussade. Décidément ce n’était pas un rêve. Sauf qu’en face d’elle se tenait sa grand-mère. Elle avait l’air étrange, pâle, presque transparente. Maëva se blottit dans son lit et tenta de se pincer pour se réveiller de ce cauchemar. Inutile de dire qu’elle ne se réveilla pas. Sa grand-mère s’assit à côté d’elle, sur son lit et la regarda doucement, comme elle l’avait toujours fait. Elle prononça quelques mots, qu’elle était triste, elle aussi, de partir, mais elle le devait. Si elle avait survécu, la vie sans son défunt aurait été trop longue et dépourvue de sens. De toutes ses forces, Maëva tenta de lui parler, de lui répondre, mais aucun son ne sortit de ses lèvres. Elle n’arrivait rien lui dire, ni la toucher. L’horreur pour la jeune fille. Sa grand-mère lui parla longuement, Maëva l’écouta attentivement, c’était la dernière fois qu’elle la voyait, croyait-elle. Sa grand-mère lui dit, qu’elle devait aller dans sa chambre et regarder sous son lit, où elle trouverait un coffre en bois. Après lui avoir indiqué l’emplacement de la clef, elle disparut sans un mot, laissant un voile de doute planer dans la chambre. Mais il ne persista pas. La jeune fille alla fouiller dans la chambre de sa grand-mère. Sous le lit, elle trouva un coffre et dans la commode, elle prit tout un trousseau de clefs et fonça, chargée dans sa chambre. A son tour, elle cacha le coffre sous son lit et la clef dans une grosse peluche qui n’avait plus aucune utilité, auparavant. Et ce fut tout. Elle avait fait ce que lui avait demandé sa grand-mère sans broncher, tel un robot, un automate. Et la vie continua.
Maëva se garda bien d’avouer à ses parents qu’elle était un de ces mutants qu’ils détestaient tant. Mais le destin en voulu autrement. Un soir, environ trois mois après la mort de sa grand-mère, on parla à table de leur grand-père, justement. Maëva ne l’avait jamais connu, mais on en parlait souvent à table, surtout leur grand-mère. Tandis que son père en parlait (après tout, c’était son père) avec une pointe de tristesse dans la voix, Maëva lui prit la main et vit une série de flash, sous ses yeux. Un homme, toujours le même, dans plusieurs situations, un mariage, la guerre, un nourrisson dans ses bras, dans un cercueil… Sous le choc, Maëva quitta la table et retourna dans sa chambre, persuadée d’être folle à lier. Elle resta, sous le choc, plusieurs jours, enfermée dans sa chambre. Pour finir, elle commença à voir des morts la visiter régulièrement, lui parler. Maëva commença à parler toute seule, a voix basse, mais ignorait à ce moment-là que sa sœur avait l’oreille collée à la porte, étonnée d’entendre des bruits dans sa chambre. Comme par hasard, ses parents furent au courant. Devinez comment. Eh oui, la petite Lyly était une « rapporteuse » et avait convaincu ses parents que sa sœur était une mutante. Quand Maëva ressortit de sa chambre, plus personne ne lui parlait. Elle n’eut pas à se creuser la tête pour trouver la raison de ce soudain mutisme. Ils savaient, c’était tout ce qu’il y avait à retenir. Même ses frères ne lui parlaient plus, l’horreur totale pour la jeune fille. Bientôt 14 ans et plus personne qui ne daignait lui adresser la parole, lui montrer de l’affection.
Plus aucun mot ne lui étant adressé, Maëva se tourna vers le piano sur lequel elle jouait, tout les jours, tout le temps de libre qu’elle avait. Le magnifique piano à queue noir devint comme son meilleur ami. Son humeur se transposait sur les morceaux qu’elle jouait. Elle n’avait, certes pas le talent de Mozart, mais était très douée, a force de jouer sans relâche plusieurs heures par jours. Elle apprivoisa chacun des sons qu’elle pouvait tirer de l’instrument, ses doigts étaient comme dansants lorsqu’ils parcouraient le clavier noir et blanc. Son meilleur ami, un piano à queue. Bientôt, elle se mit aussi à chanter sur les mélodies veloutées qu’elle composait. Une nouvelle passion, la musique et le chant auxquels elle s’exerçait bien souvent. Les journées dans la maison furent remplies d’une voix envoûtante qui retentissait, accompagnée par la mélodie enchanteresse d’un piano apprivoisé.
Vers son 15° anniversaire, Maëva n’en pu plus et décida de quitter la maison familiale où elle n’avait plus sa place. Le soir de ses 15 ans, elle avait réunit assez d’argent pour quitter la Floride et subsister encore un moment. La nuit, elle réunit toutes ses affaires et les fourra dans son sac. Avant de partir définitivement, elle vit sa grand-mère, assise sur son lit. Elle lui parla quelques minutes et partit, après avoir lâché qu’il était temps pour elle de prendre le coffre et de l’ouvrir. Une fois le coffre et le trousseau dans son sac, elle sortit dans la nuit, laissant derrière elle une vie qui, apparemment n’était pas la sienne.
Pendant plusieurs jours, Maëva passa d’hôtels en hôtels, sous de faux noms, bien qu’elle doute que ses parents aient lancé un avis de recherche. Elle quitta la Floride pour aller dans le Montana, où elle découvrit la magie de l’hiver, des terres enneigées. Finalement, elle s’y installa, accueillie par une humble famille l’ayant prit en pitié. Jamais ils ne posèrent de questions, ce qui convenait à Maëva. Jusque là, la petite avait été enjouée, éclatait de rire pour tout et n’importe quoi, mais à présent, elle était taciturne, certaine de ne pas avoir sa place sur cette Terre : si ses parents ne l’aimaient pas, comment quelqu’un le pourrait-il ? Elle restait silencieuse, ne parlant pas d’elle, aidant volontiers les gens, vivant dans le déni de sa véritable nature : une mutante. Mais, vers ses 16 ans, Maëva quitta sa famille d’accueil et partit pour découvrir les sols enneigés de tout le globe. Elle entra dans le Canada et rencontra un homme, un vieil indien, qui l’accueillit pour une nuit. Il avait deviné, on ne sait comment, qu’elle était une mutante. Ils parlèrent longuement. Ce fut la première fois que Maëva fut totalement honnête, elle raconta son histoire, ce qu’elle faisait, pourquoi et répondit à des multiples questions de la part de cet indien. Le soleil se leva, ils parlaient encore. Vers midi, l’Indien parla à Maëva d’une école pour les enfants comme elle, comme lui, de tout âge. L’école des X-men. Maëva partit quelques jours plus tard, le temps de se préparer pour son voyage jusqu’à l’école des X-men. Après avoir fait ses adieux au vieil indien, elle prit la route et alla, apaisée à l’idée de trouver un endroit où elle aurait peut-être sa place. Juste avant d’arriver à l’école, elle ouvrit le fameux coffre, qu’elle avait failli oublier. Dedans, une magnifique dague arabe en argent pur orné de coulures d’or dont la signification était « force et courage ». Etait-ce un signe qu’il lui faudra être forte pour survivre ?
Description physique : Maëva est une fille plutôt séduisante, ne se mettant pas en valeur comme peuvent le faire les « bimbo » de ce bas monde. Elle est juste simple. Son regard bleu océan est froid, ne laisse transparaître que très peu d’émotions. Ce regard tranchant comme une lame de métal, froid et terne comme la mort était tout de même adoucit par la chaleur du blond de sa chevelure. De taille moyenne (1 m 69) pour 55 kilos, la jeune fille est plutôt séduisante. La taille fine, des courbes présentes comme il le fallait. Elle a des jolies lignes, des formes où il en faut, en tout cas, assez pour plaire aux garçons (vous voulez quand même pas un dessin ?!). Maëva ne passait pas spécialement inaperçue dans les endroits où elle allait, pour son plus grand malheur. Elle a toujours un air distant, pas froid, mais simplement comme si elle était en permanence en train de rêver, plongée dans ses pensées. Son regard n'exprime rien de spécial, elle sourit rarement, seulement quand il y a une raison et rit encore plus rarement. Elle porte souvent des habits passe-partout, simples. Une paire de jeans, des baskets et un haut simple. Avec parfois un pull. Elle n'accorde aucun soin particulier a son apparence, ne désirant pas qu'on la remarque dans la foule.
Armes : Une dague arabe en argent pur orné de la signification arabe « force et courage ».
Autres : Un don incontestable pour le piano et porte toujours un anneau en argent pur au pouce, objet qu’elle à aussi trouvé dans le coffre de sa grand-mère.
Personnage : - Inventé
Célébrité sur l'avatar : Kaley Cuoco (je crois)
D'autres personnages ? Non |
VelusiaFondatriceDate d'inscription : 21/04/2006
Nombre de messages : 3249
Age : 34
| |
Sujet: Re: Maëva Kareyton [terminé] Ven 4 Jan - 19:50 | |
| C'est une fiche vraiment sublime, bravo ! J'aime beaucoup ta façon d'écrire, c'était un vrai plaisir de découvrir ton perso :) Je te valide, bienvenue parmi nous ;) Tu as maintenant l’accès à l’école des Jeunes Surdoués (X-Men). Tu vas devoir apprendre à contrôler tes pouvoirs qui apparaîtront le long de ton aventure, jusqu'à tes 600 messages ! Bonne chance ! ;) Pour ne pas te perdre dans l’institut, clique ici. |
Sujet: Re: Maëva Kareyton [terminé] | |
| |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|